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Deuil en Ouganda après le massacre perpétré dans un lycée

Horreur absurde

Deuil en Ouganda après le massacre perpétré dans un lycée

Au moins 41 personnes ont été assassinées, dont une majorité d'adolescents. Le témoignage des rescapés est terrifiant. Les autorités ougandaises accusent la milice islamiste des Forces démocratiques alliées (ADF) du massacre.

L'heure du deuil en Ouganda après le massacre perpétré vendredi dernier par une milice islamiste dans le lycée Lhubiriha à Mpondwe, près de la frontière avec la République démocratique du Congo (ouest du pays). Le président ougandais, Yoweri Museveni, a qualifié dimanche l'attaque d'acte "désespéré et lâche" et a promis d'éliminer les responsables de cet assaut sanglant, le pire de ce type perpétré dans le pays depuis des années.

Des familles éplorées ont commencé à enterrer les premières victimes tandis que d'autres recherchent toujours désespérément des proches portés disparus après le raid jihadiste qui a fait au moins 41 morts, pour la plupart des élèves, mais également un agent de sécurité et trois autres personnes.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a qualifié cette attaque « d’effroyable » tandis que Washington, un allié proche de l’Ouganda, et l’Union africaine ont également condamné ce bain de sang et présenté leurs condoléances. Dix-sept étudiants ont été brûlés dans leur dortoir et vingt étudiantes ont été tuées à coups de couteau, a déclaré la première dame ougandaise et ministre de l’éducation, Janet Museveni.

L’Ouganda et la RDC ont lancé une offensive conjointe en 2021 pour chasser les ADF de leurs bastions congolais, mais ces opérations n’ont jusqu’à présent pas permis de mettre fin aux attaques du groupe.

Euronews

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