Des milliardaires américains souhaitent être davantage taxés et réclament l'application d'un impôt sur la fortune<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Crédits Photo: capture d'écran France 3 / Franceinfo

Solidarité

Des milliardaires américains souhaitent être davantage taxés et réclament l'application d'un impôt sur la fortune

18 milliardaires américains, dont l'homme d'affaires Georges Soros ou Chris Hughes, le cofondateur de Facebook, réclament à tous les candidats à la présidence aux Etats-Unis "une taxe modérée sur les fortunes d'un dixième des 1% des Américains les plus riches" comme le révèle la rédaction de France 3 dans ce reportage.   

Ces 18 milliardaires ont cosigné une lettre publiée en ligne. Ce document intitulé "taxez-nous plus" a été dévoilé en ce début de semaine. A travers ce texte et cette démarche, ils souhaitent apporter leur soutien à l'idée d'un impôt sur la fortune dans le cadre de la campagne pour la future élection présidentielle. 

"Nous écrivons à tous les candidats à la présidence, qu'ils soient républicains ou démocrates, pour apporter notre appui à une taxe modérée sur les fortunes d’un dixième des 1 % des Américains les plus riches – sur nous. […] Tout nouveau dollar émanant de nouvelles taxes doit venir des plus aisés financièrement, pas des Américains de la classe moyenne ou populaire".

Ces milliardaires détiennent 90% de la richesse du pays. 

Cette idée avait déjà été évoquée par le passé aux Etats-Unis par Warren Buffett. 

La sénatrice démocrate Elizabeth Warren, engagée dans la primaire démocrate, a également évoqué un projet d'"impôt sur la fortune" pour taxer les 75.000 foyers les plus riches aux Etats-Unis. 

Si cet impôt était instauré aux Etats-Unis, plus de 2.700 milliards de dollars pourraient être récoltés en l'espace de dix ans. 

Donald Trump a appliqué depuis le début de son mandat une politique fiscale favorable aux plus riches des contribuables. 

France 3 - Franceinfo

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !