Il venait d’avoir 18 ans (de moins qu’elle) : Monica Bellucci in love; Rihanna a peur des voleurs, Brigitte Macron peur pour sa famille; George &Amal Clooney se sont (enfin) revus... avec 3000 personnes, Brad Pitt &Angelina Jolie aussi mais sans témoins<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
©

Revue de presse people

Et toujours : la mésentente cordiale à Buckingham.

Anita Hausser

Anita Hausser

Anita Hausser, journaliste, est éditorialiste à Atlantico, et offre à ses lecteurs un décryptage des coulisses de la politique française et internationale. Elle a notamment publié Sarkozy, itinéraire d'une ambition (Editions l'Archipel, 2003). Elle a également réalisé les documentaires Femme députée, un homme comme les autres ? (2014) et Bruno Le Maire, l'Affranchi (2015). 

Voir la bio »

Monica Bellucci in love

 Monica Bellucci "vit une fabuleuse romance" se réjouit Voici qui annonce que la bellissime a retrouvé l'amour... "C'est une certitude, Monica Bellucci est de nouveau une femme heureuse. Longtemps restée célibataire, l'actrice à cette fois retrouvé l'amour et son plus beau sourire", écrit Voici, preuves à l'appui. "Il suffisait de la voir déambuler au bras de son compagnon dans les rues de Paris le 11 décembre dernier pour comprendre que quelque chose avait changé en elle… Leur relation est tout sauf éphémère", écrit le journal, bien informé." Mais qui est donc cet homme qui a fait chavirer le cœur de Monica ? Il s'appelle Nicolas Lefèbvre et il a 36 ans. Cet ancien mannequin au look d'Apollon, grand, blond, aussi chevelu que charismatique est un artiste scénographe." Les présentations faites, le mag précise qu'il a "travaillé dans diverses galeries et auprès d'un commissaire-priseur avant d'ouvrir sa propre galerie en 2008". Il est déjà papa d'une petite fille Anahi, qui a aujourd'hui 6 ans et "partage la vie de Monica Bellucci depuis l'été dernier... malgré les 18 ans qui les séparent. Nicolas a su accepter les contraintes de la vie de Monica celle d'une mère louve mais aussi celle d'une comédienne..." A 54 ans, insiste le magazine, "Monica sent bien qu'une nouvelle page de sa vie de femme est sur le point de s'écrire". Et de tourner la page Vincent Cassel qui s'est remarié l'été dernier avec Tina Kunakey, sa cadette de 30 ans.

 Kate et Meghan : vivement Noël

Meghan et Kate c'est officiel ! Leur brouille, s'entend. Point de Vue, Gala et Paris-Match se sont emparés du sujet. "Obligées de se réconcilier avant Noël à cause de la Reine", écrit Gala qui affirme que "longtemps ce fut un des secrets de cours les mieux gardés. Kate et Meghan ne s'apprécient pas, mais vraiment pas... La nouvelle a franchi les murs épais de Buckingham Palace. Inquiète pour la couronne, la Reine les pousse désormais à la réconciliation. Contraintes et forcées les duchesses obéissent." Ce n'était pourtant pas un secret pour les People Magazine qui nous tiennent en haleine depuis des semaines avec la mésentente des deux royales belles-sœurs. Cette semaine c'est un journaliste américain qui est venu raviver feu racontant qu'il était ami avec Meghan avant qu'elle fasse la connaissance de son futur mari. Ce jour-là, précisément, il avait rendez-vous avec elle dans un café : "après deux heures passées ensemble je l'ai mise dans un taxi pour qu'elle puisse se rendre à ce fameux rendez-vous avec Harry. Je n'en ai plus jamais entendu parler", raconte Piers Morgan, visiblement amer, parce qu'il a l'impression de s'être fait avoir... Gala lit dans ses pensées en parlant de "comportement qu'il juge typique d'une arriviste made in Hollywood obsédée par l'ascension sociale qui joue en permanence des coudes pour arriver au sommet. Pas très flatteur de la part d'un ancien admirateur qui autrefois louait dans ses chroniques sa beauté, son talent, son humour et son intelligence". Force est de reconnaître que pour ce qui est de jouer des coudes, cela a pas mal réussi à Meghan... On lit aussi que William a "flairé dès le début les ambitions de Meghan et ne l'aurait pas accueillie à bras ouverts dans la famille. Harry lui tiendrait toujours rigueur de sa froideur et surtout de ne pas avoir suffisamment déroulé le tapis rouge. Même le prince Charles s'en serait mêlé, incitant William à faire des efforts. En tout cas la souveraine a sifflé la fin des hostilités. Kate, William et leur trois enfants ne passeront pas le réveillon chez les Middleton mais bien chez elle à Sandringham". "Finalement tout semble rentrer dans l'ordre" pour Gala mais ce n'est pas sûr. "Si proches et si différentes", écrit de son coté Point de Vue qui tente de traiter le sujet avec un peu de hauteur et qui remonte aux origines de la rencontre de William et Kate pour la comparer avec celle de Harry et Meghan et expliquer que "l'arrivée de l'actrice américaine de âgée de 36 ans intervient à un moment décisif de l'histoire de la couronne alors que la jeune génération du clan se voit investie de responsabilités accrues"... Le magazine semble avoir choisi son camp : c'est celui de Kate... car derrière la description du style et de la garde-robe de Meghan, "ses jupes crayon, ses talons aiguilles ses tailleurs-pantalons et ses manteaux amples aux lignes modernes qui révèlent moins un désir de se couler dans le moule de l'altesse parfaite qu'une volonté de laisser s'exprimer sa personnalité", on décèle plus qu'une once de critique... Et Paris-Match, qui parle de "mésentente cordiale" (allusion à l'entente cordiale pas si cordiale que cela entre l'Angleterre et la France), revient sur "le séjour catastrophe de Harry et Meghan chez Kate et William à Noël 2017 : "Meghan toujours levée à l'aube pour ses séances de yoga rudoie un membre du personnel. Kate la prend à part et la met gentiment au courant des us et coutumes vis-à-vis des domestiques. Ulcérée, Meghan se plaint à Harry. Les deux frères ont une explication virile"... Mais, conclut le mag, "face à la bronca Meghan ne tremble pas. En guerrière, elle avance". Ce n'est pas tout. Pour montrer la décontraction de Meghan, les journaux publient une photo d'elle dans une robe fourreau noire moulante à une soirée officielle... Et cette photo montre des rondeurs surprenantes pour une grossesse de quatre mois. Voici reprend une rumeur de la presse britannique qui croit à "une grossesse multiple... des jumeaux, des triplés ? En tout cas elle nous prépare quelque chose d'énorme", écrit le mag.

Rihanna a peur des cambriolages

L'argent ne fait pas toujours le bonheur, même s'il y contribue... La preuve: la "pauvre" Rihanna met en vente sa maison hollywoodienne, située sur les hauteurs de la ville, moins de deux ans après en avoir fait l'acquisition. La raison invoquée est que la diva a peur des cambriolages. Elle en a été victime il y a trois mois et depuis, elle ne se sentirait plus en sécurité dans cette maison qui vaut plusieurs millions de dollars ; d'après Closer qui apporte la précision, pour cette somme l'acquéreur disposera d'une surface de 632 mètres carrés avec six chambres et dix salles de bains, une piscine, une salle de cinéma et une salle de billard. Il ou elle aura surement les moyens de se faire installer un système de surveillance et de sécurité en mesure de décourager les intrus. En tous cas Rihanna n'est pas la seule avoir reçu la visite de cambrioleurs dans le quartier : ses voisins MPokora et Christina Milian ont également été cambriolés récemment....

Brigitte Macron vit mal la crise

"Brigitte Macron choquée par les attaques", titre Closer qui affiche en couverture le couple présidentiel avec une mine sombre, et qui explique que l'épouse du président a peur pour sa famille amiennoise qui est attaquée à travers elle. En pages intérieures, le mag reproduit des photos de Gilets Jaunes brandissant une pancarte "Macron au SMIC, Brigitte à l'Usine ". En filigrane, le journal critique l'épouse du président à qui "on" reprocherait de ne pas avoir suffisamment alerté son mari sur le mécontentement croissant des Français, alors qu'elle reçoit un volumineux courrier tous les jours. En même temps, écrit Closer, "rien ne l'avait préparée à la tempête qu'elle affronte aujourd'hui. Ni les moqueries sexistes dont elle a fait l'objet, ni les pétitions qu'elle a inspirées, ni même les fake news qui l'ont ciblée, comme cette prétendue multiplication de son budget. Car dans la crise qui ébranle ces jours-ci le pouvoir, Emmanuel Macron n'est pas le seul en première ligne. Son épouse a été visée dès les prémices du mouvement des Gilets jaunes, sur Internet d'abord." Closer rapporte les critiques dont Brigitte Macron est la cible à travers des "tweets très virulents, fustigeant notamment ses goûts de luxe". Le mag laisse entendre que "des photos d'elle en robe longue Louis Vuitton le 19 novembre lors d'un dîner d'État en Belgique", n'arrangeaient rien. Tout comme le début, le 22, de fastueux travaux de décoration à l'Élysée, même "s'ils avaient été annoncés de longue date, et financés en partie par la boutique en ligne de la présidence. Mais le devis d'environ 500.000 € pour changer moquette, rideaux et tentures, a semblé un poil lourd dans le contexte social, avec une Brigitte Macron en grande ordonnatrice du chantier... le timing avait tout pour donner une impression de déconnexion dont les réseaux sociaux comme les médias traditionnels allaient s'emparer". Et Closer de s'en faire l'écho. Le mag cite le professeur d'information et communication Arnaud Mercier qui a déclaré "c'est Marie-Antoinette qui vit dans sa bulle". "Brigitte Macron n'a pas fait d'apparition officielle depuis son voyage en Argentine fin novembre. On la dit ébranlée, surtout quand elle a réalisé que les menaces prenaient parfois corps avec les deux voitures de la députée LaRem Jacqueline Dubois incendiées devant chez elle... Elle a été horrifiée par la violence déployée envers la chocolaterie familiale. En plein deuil de son frère aîné Jean-Claude décédé le mois dernier, Brigitte Macron a peur pour les siens à Amiens comme à Paris où vivent certains des siens. Des angoisses dont elle ne s'ouvrirait en outre que trop peu à son époux ", dont on ne comprend pas bien s'il n'a plus le temps de l'écouter ou s'il ne l'entend pas. En tous cas, Closer reprend un extrait de l'interview que le neveu de Brigitte Macron, Jean-Alexandre Trogneux , le patron de la chocolaterie familiale, a accordée au Parisien ; interview dans laquelle il a raconté "les menaces de faire brûler la chocolaterie sur les réseaux sociaux : "J'ai l'impression d'être un bouc émissaire, un défouloir ", a-t-il notamment déclaré. Mais Closer tient tout de même à rassurer ses lecteurs : elle (Brigitte),"continue de faire remonter son courrier qui regorge d'exemples de ces familles qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts"... elle continue à travailler. Son agenda est bien rempli.

Les Beckham...

 Dans la famille Beckham, Closer affiche côte à côte, la photo du fils ainé Brooklyn, avec sa nouvelle petite amie et celle de son ex Chloé Moretz avec la sienne. Car Chloé Moretz est désormais amoureuse d'une mannequin nommée "Kate Harrison, un top model chic et branchée. Leurs étreintes ne laissent planer aucun doute sur l'affection qu'elles se portent l'une à l'autre", écrit Closer. Voici est plus explicite avec les photos que le magazine publie des deux jeunes femmes en train de s'embrasser dans la rue. Quant aux parents de Brooklyn, ils continuent d'intriguer la presse people. Un soir on peut voir David en compagnie de la top Helena Christensen à Miami. Le lendemain il est de retour à Londres aux cotés de Victoria pour une cérémonie officielle...

Les Clooney se sont revus…

"On n'y croyait plus", écrit Closer ! "Le couple Amal et George Clooney est parvenu à se synchroniser après quatre mois durant lesquels ils ne sont jamais apparus ensemble en public". C'était le 5 décembre à New-York : "George et Amal Clooney ont refait une sortie devant les caméras et les photographes lors d'une soirée de très haute tenue", au cours de laquelle Amal devait être récompensée du Prix "Citizen of the Year" (citoyen de l'année). George Clooney était arrivé avec ses parents. A la fin de la soirée Amal et lui "sont enfin apparus main dans la main, et ont posé patiemment devant les nombreux objectifs qui les attendaient dehors. Au lendemain l'avocate a de nouveau endossé son costume de maman solo". La preuve : on la découvre, photographiée portant ses jumeaux dans les bras, sortant de l'hotel new-yorkais où elle séjournait. Vous retrouverez cette illustration dans tous vos magazines, avec des commentaires divers... Aucun ne précise si les Clooney se sont vus un peu plus longuement que le temps d'une soirée de Gala.

les Bradgelina aussi…

Un conflit entre deux stars qui se règle à l'amiable est une mauvaise affaire pour la presse people à l'affut du moindre signe de leur affrontement. Ce sera (peut-être) le cas pour les Bradgelina puisque Brad Pitt et Angelina Jolie sont parvenus à un accord avant procès pour la garde des enfants... et le reste. Ainsi pour Public "ce serait plutôt Angelina qui serait gagnante" puisqu'elle "a réussi à obtenir la garde exclusive de ses enfants, ce qu'elle réclamait depuis le départ, une pension alimentaire revalorisée, ainsi que la permission de voyager à l'étranger avec ses kids, tant qu'ils gardent la nationalité américaine. Une vraie victoire, même si Brad a lui aussi obtenu des compensations importantes... Il aura le droit de visiter ses enfants pratiquement quand il le souhaite et pourra de nouveau jouer un vrai rôle de père auprès d'eux, ce qui le comble de bonheur". Autre son de cloche dans Voici: "Angelina baisse enfin la garde", titre le magazine qui écrit que "Brad a finalement obtenu ce qu'il voulait : une garde quasi partagée à laquelle Angelina s'opposait farouchement... et l'autorisation de les voir sans la surveillance d'un tiers". Pour ajouter un peu de piquant à l'histoire Public écrit que "désormais Angie est disposée à entretenir de bonnes relations avec le père de ses enfants, voire davantage".

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !