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Zapping politique du jour : Jean-Luc Mélenchon, Moscovici, Le Foll... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce vendredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Pierre Moscovici, ministre de l'Economie et des Finances, sur France Info

"La France garde une des notes les plus élevées du monde. Nous sommes un pays extrêmement solide. Les investisseurs peuvent faire confiance à la France"

La vidéo du jour : Bruno Le Roux, chef de file des députés PS à l'Assemblée, sur iTélé

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L'essentiel de ce vendredi matin

Jean-Luc Mélenchon, co-fondateur du Front de gauche, sur RTL

Les plans sociaux qui se multiplient ? "Les méthodes utilisées ne peuvent pas donner d'autres résultats. Le gouvernement a donné 20 milliards de crédits impôts pour la compétitivité. On fait des cadeaux à des entreprises qui n'en ont pas besoin. Ils sont financés par la hausse de la TVA. Il y a une ponction sur toutes les familles de France. Pour une famille de 4 personnes, ça représente environ 400 euros. C'est énorme !"

La situation de la France ? "Quand on gouverne le pays, il faut se rendre compte qu'on va dans le mur. Il faut réagir et changer les règles du jeu. Les plus puissants et les plus riches doivent contribuer plus et plus justement. C'est pareil pour les entreprises. Les plus grandes doivent payer davantage. Pour l'instant le poids de l'impôt est porté par les petites entreprises, les classes moyennes. Il faut une révolution fiscale". 

"Ce n'est pas un problème breton. Il faut faire bouger les choses à l'échelle de la France. Il faut faire une marche en disant qu'il faut lâcher quelque chose, ne pas augmenter la TVA au 1er janvier 2014. J'appelle à une grande manifestation. Je travaille à un jour de rassemblement. Le 1er décembre me paraît être une bonne date. (...) Il faut répartir la charge sur tous. Ce que je dis, n'est pas anti-impôt". 

Christian Troadec, maire de Carhaix et l'un des leaders des Bonnets rouges sur Europe 1

La violence des Bonnets rouges ? "Le collectif a toujours dit clairement qu’il était contre la violence. Il n’entend pas évidemment voir la Bretagne être un champ de ruine. Nous ne sommes pas du tout du côté de ceux qui cassent. Mais la violence s’exerce aujourd’hui contre les salariés et les chefs d’entreprise, qui ne trouvent plus d’opportunité".

Le dialogue avec le gouvernement ? "Le gouvernement nous a fermé la porte il y a deux jours. Et là, Stéphane Le Foll sera présent à Rennes derrière les hautes grilles de la préfecture de région. Il n’a pas le courage de venir ici, dans le Finistère, où l’incendie est en train de ravager toute l’économie bretonne. C’est un ministre qui a du mal à assumer ses responsabilités. Et nous, on souhaite qu’il réponde concrètement aux problèmes qui se posent aux Bretons".

La suite du mouvement ? "Le gouvernement démonte certains portiques. Il gagnerait en sagesse à les démonter très rapidement. Déjà, il y aurait un problème de régler. Nous demandons au gouvernement de prendre ses responsabilités".

Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, sur Europe 1

Baisse de la note française ? "Je regarde tout ça avec l'idée que les réformes engagées vont porter leurs fruits. Il faut mener jusqu'au bout la politique engagée".

Violences des Bonnets rouges ? "Je condamne la violence. Il y a eu l'expression de messages forts. Le temps des solutions est venu.Pour Doux, par exemple, nous pouvons sauver l'entreprise. Il y a des pistes en cours. (...) Je suis là pour parler de la Bretagne vivante, celle qui a de l'énergie. Il est possible que je vois les Bonnets rouges mais la Bretagne est vaste. Le Finistère connaît des difficultés plus graves que les autres mais la Bretagne et les autres régions doivent être pris en considération, en totalité".

"Nous avons suspendu l'écotaxe, on a fait des propositions, on cherche encore d'autres solutions. Il y a une discussion engagée. Nous faisons des efforts. Aujourd'hui, par exemple, il n'y a pas de construction de portiques. Un milliard d'euros va être alloué en tout à la Bretagne. L'argent sera là pour soutenir des projets. D'autres régions vont en bénéficier". 

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