Val-de-Marne : des bus de la RATP dépouillés de leurs pots catalytiques<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Six bus stationnés dans un dépôt ont été délestés de leurs pots, prisés des voleurs de pièces détachées pour leurs métaux précieux. Le préjudice est estimé à 240.000 euros.
Six bus stationnés dans un dépôt ont été délestés de leurs pots, prisés des voleurs de pièces détachées pour leurs métaux précieux. Le préjudice est estimé à 240.000 euros.
©AFP / Ludovic MARIN

Métaux précieux

Six bus stationnés dans un dépôt ont été délestés de leurs pots, prisés des voleurs de pièces détachées pour leurs métaux précieux. Le préjudice est estimé à 240.000 euros.

C’est un type de vol qui se multiplie partout à travers le territoire. Ce lundi 18 septembre dans la matinée, des employés de la RATP ont constaté que six bus de la ligne 103 garés dans un dépôt de Créteil (Val-de-Marne) avaient été dépouillés de leur pot catalytique.

De sources concordantes, le vol a été opéré à l’abri des regards. La vidéosurveillance du dépôt, soigneusement déconnectée par les auteurs du vol, a été rendue inexploitable. Une plainte a été déposée par le responsable du dépôt auprès du commissariat de Créteil. Selon une source policière, chaque pot catalytique volé vaut environ 40.000 euros, soit un préjudice de 240.000 euros pour la régie autonome des transports parisiens.

Les vols de pots catalytiques sont de plus en plus communs partout à travers l’Hexagone. Ces pièces, qui font office de catalyseur dans le pot d’échappement d’un véhicule à motorisation thermique, sont notamment faites de rhodium. Les voleurs de pièces détachées automobiles sont friands de ce métal dont la valeur au kilo dépasse largement celle de l’or (4000 euros l’once contre un peu moins de 2000 pour l’or).

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !