Syrie : l'armée américaine affirme avoir tué Khaled Aydd Ahmad al-Jabouri, un chef de l'Etat islamique, responsable d'attaques terroristes en Europe<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Des soldats de l'armée américaine patrouillent à Rumaylan en Syrie, en mars 2023. Un chef de l'Etat islamique a été tué lors d'une frappe américaine en Syrie.
Des soldats de l'armée américaine patrouillent à Rumaylan en Syrie, en mars 2023. Un chef de l'Etat islamique a été tué lors d'une frappe américaine en Syrie.
©DELIL SOULEIMAN / AFP

Lutte contre le terrorisme

Une frappe a été menée dans le Nord-Ouest de la Syrie et aucun civil n'a été tué ou blessé lors du raid, selon le commandement militaire américain.

Un chef du groupe jihadiste Etat islamique a été tué lors d'une frappe américaine en Syrie ce mardi 4 avril, selon les précisions du commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom). Khaled Aydd Ahmad al-Jabouri était notamment "responsable de la planification d'attaques de l'[Etat islamique] en Europe", a déclaré le Centcom dans un communiqué, soulignant que sa mort allait "temporairement perturber la capacité de l'organisation à fomenter des attaques à l'étranger".

Le commandement militaire américain a précisé que la frappe de mardi a été menée dans le Nord-Ouest de la Syrie et assure qu'aucun civil n'a été tué ou blessé lors du raid. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), un drone américain a visé le responsable de l'EI dans la province d'Idleb, dans un secteur contrôlé par les jihadistes. 

L'homme, un Irakien qui se faisait passer pour un Syrien et se faisait appeler Khaled, s'était réfugié dans cette région il y a dix jours, précise l'OSDH, qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie. Il a été visé par le drone alors qu'il marchait près de son domicile et parlait au téléphone, selon cette ONG.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !