Sanofi annonce la suppression de 600 postes en trois ans <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Ce plan résulte de la nouvelle organisation dévoilée en juillet 2015.
Ce plan résulte de la nouvelle organisation dévoilée en juillet 2015.
©Reuters

Réorganisation

D'après les informations communiquées à l'AFP par la CGT au terme des différentes réunions d'instances du personnel, 1 098 postes seront supprimés au total.

Le groupe Sanofi a annoncé ce mardi son projet de supprimer "environ 600 postes sur les trois prochaines années" en France, notamment par le biais de départs volontaires et par le financement de préretraites, dans le cadre du plan d'économies de 1,5 milliard d'euros annoncé en novembre. Le nombre de postes concernés représente 2% des effectifs du géant pharmaceutique, qui promet que ce projet "d'évolution de l'organisation" ne "prévoit pas de fermeture d'usine et n'aura pas d'impact sur les effectifs de la recherche et du développement". 

Ce plan résulte de la nouvelle organisation, dévoilée en juillet 2015 : Sanofi est maintenant regroupé en cinq grandes entités mondiales (GBUs) correspondant aux cinq grands domaines d'activité: médecine générale et marchés émergents, médecine de spécialités (Genzyme), diabète et cardiovasculaire, vaccins (Sanofi Pasteur) et santé animale (Merial).

D'après les informations communiquées par la CGT à l'AFP au terme des différentes réunions d'instances du personnel, 1 098 postes seront supprimés, dont 657 aujourd'hui occupés. La réorganisation doit être mise en place sur une période de deux ans, "d'ici à fin 2017", précisent la CGT et la CFDT. Ce plan inclue également le "transfert juridique" de 870 postes vers les services centraux, explique la CFDT. 

Lu sur Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !