Paris : les chauffeurs de VTC évitent la capitale au profit de la banlieue<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Périphérique Paris
Périphérique Paris
©Flickr / MPD01605

Pénurie

Ils n'ont pas le droit d’emprunter les couloirs de bus, contrairement aux taxis

Depuis que les applications  utilisées par les TVC offrent la possibilité de choisir les courses, Sylvain, cité par Le Parisien, fait le tri : « Je refuse quasiment toutes les courses en dessous de 20 euros. Je sais par exemple que faire quelques kilomètres dans Paris, ça ne sert à rien ».

« Depuis qu’on nous a interdit la rue dde Rivoli, il faut contourner la zone. Et comme nous n’avons pas le droit d’emprunter les couloirs de bus, les voies réservées et bientôt le centre de Paris, c’est devenu infernal, poursuit encore Sylvain. Pourtant, on fait le même métier que les taxis. Honnêtement, on ne comprend pas. »

Chez Uber, on constate le manque de chauffeurs disponibles : « La durée et la complexité du parcours pour devenir chauffeur freinent l’arrivée de nouveaux qui seraient en capacité de répondre à la demande », explique une porte-parole pour qui il faudrait simplifier l’accès à la profession. 

Uber dénombre actuellement 28 000 chauffeurs en France, un chiffre en forte augmentation par rapport aux 25 500 de début septembre, mais toujours inférieur à celui de 30 000 de l’époque pré-Covid ajoute Le Parisien.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !