Orlando : les principales réactions politiques en France au lendemain de la fusillade

Lors de sa visite sur la tombe du Général De Gaulle à Colombey-les-deux-Eglises, Le chef de l'Etat a assuré lundi qu'il ne laisserait "rien passer en termes d'actes et de propos homophobes", au lendemain de la tuerie d'Orlando (Floride), qui a coûté la vie à 49 personnes, selon un bilan provisoire. 

François Hollande avait publié plus tôt dans la journée sur le compte Twitter de l'Elysée le message suivant : "L'effroyable tuerie homophobe d'Orlando a frappé l'Amérique et la liberté. La liberté de choisir son orientation sexuelle et son mode de vie". Une polémique sur l'expression "choisir son orientation sexuelle" est née sur les réseaux sociaux et dans les médias peu après la mise en ligne de ce tweet. 

Le président du parti Les Républicains (LR), Nicolas Sarkozy, a lui aussi condamné "avec force l'effroyable tuerie d'Orlando". "J'adresse au peuple américain toute ma solidarité face à cet acte abject", a-t-il écrit sur son compte Twitter. 

Sur Twitter, la Manif pour tous, qui s'était activement opposée au Mariage pour tous en 2013, a tenu à régir via le compte de Ludovine de la Rochère : "Peine immense pour les victimes et les familles endeuillées. Nausée face à la haine et la violence #Orlando". 

La maire PS de la capitale Anne Hidalgo a également adressé sa "compassion, sa solidarité et son affection", de même que son "soutien indéfectible" au peuple américain et à la communauté gay frappés par cette tuerie. Nous "voulons montrer notre résolution à ne pas se taire, à vivre, et à nous battre contre les obscurantistes et le terrorisme", a-t-elle déclaré devant la presse. 

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