MHRA, l'agence de santé britannique, autorise l'utilisation du vaccin Pfizer/BioNtech : les premières vaccinations pourraient commencer la semaine prochaine dans les maisons de retraite<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Santé
Pfizer
Pfizer
©David Dee Delgado / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP

Coronavirus

C'est un succès pour Boris Johnson très critiqué pour la gestion de cette crise sanitaire, mais la campagne d'injections est un défi logistique car il faut 2 injections par personne, et ce produit doit être conservé à -70° C

Un porte-parole du ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales a déclaré: "Le gouvernement a accepté aujourd'hui la recommandation de la MHRA d'approuver l'utilisation du vaccin Covid-19 de Pfizer / BioNTech."

La Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) britannique a donc autorisé ce matin la mise sur le marché et l'utilisation du vaccin Pfizer/BioNtech. La Grande-Bretagne est le premier pays occidental à prendre cette décision souligne le Times.

La Grande-Bretagne a retenu 40 millions de doses, soit assez de vaccin pour 20 millions de Britanniques puisqu'il faut deux injections par personne. Les 800.000 premières devraient être disponibles la semaine prochaine selon le quotidien londonien.

Cité par le Guardian, le ministre de la Santé, Matt Hancock, a déclaré que le déploiement du vaccin à travers le Royaume-Uni serait «difficile» car il devait être maintenu à -70 ° C. Un réseau de 50 hôpitaux était prêt à livrer les premiers injections, a-t-il dit, et des centres de vaccination spécialisés étaient en cours de construction.

Il a déclaré que le vaccin serait également disponible auprès de certains médecins généralistes et pharmaciens s'ils disposaient d'installations de stockage frigorifique adaptées.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !