Inflation alimentaire : «Tout ne va pas baisser, c’est impossible», préviennent des industriels<!-- --> | Atlantico.fr
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En France, «les marges sont faibles, et elles ne se sont pas améliorées» ces derniers mois, a plaidé Richard Panquiault, président de l’Ilec, ce jeudi.
En France, «les marges sont faibles, et elles ne se sont pas améliorées» ces derniers mois, a plaidé Richard Panquiault, président de l’Ilec, ce jeudi.
©INA FASSBENDER AFP

Marges faibles

En France, «les marges sont faibles, et elles ne se sont pas améliorées» ces derniers mois, a plaidé Richard Panquiault, président de l’Ilec, ce jeudi.

Dans le grand jeu de poker menteur entre distributeurs et industriels, chacun joue sa partition et présente patte blanche. Invité ce jeudi matin sur RMC, le président de l’Institut de liaisons des entreprises de consommation - Ilec -, Richard Panquiault, a défendu les intérêts de ses adhérents, s’élevant contre l’accusation selon laquelle ceux-ci seraient des «profiteurs».

Une fois le projet de loi sur les négociations commerciales passé, industriels et distributeurs pourront se remettre autour de la table pour discuter des prix des produits. Les échanges s’annoncent pour le moins musclés, alors que les premiers composent avec certains intrants toujours en hausse, tandis que les seconds souhaitent voir les étiquettes baisser dans les rayons. Le résultat des négociations devrait donc être mitigé, a prévenu le patron de l’Ilec : «Tout ne va pas baisser, c’est impossible», a-t-il souligné, alors que certains coûts continuent d’augmenter pour les entreprises, comme le «plastique recyclé».

Le bilan sera donc «contrasté». Certains produits, comme la volaille, le blé ou les huiles végétales ont déjà vu leurs tarifs diminuer. D’autres devraient suivre cet exemple : «Ces cours à la baisse seront répercutés, [mais] il y en a d’autres» dont les coûts continuent d’augmenter, a martelé Richard Panquiault.

Le Figaro

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