Guerre en Ukraine : l’Otan doit se préparer à de «mauvaises nouvelles», selon Jens Stoltenberg<!-- --> | Atlantico.fr
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«Nous devons soutenir l'Ukraine dans les bons comme dans les mauvais moments», a déclaré samedi le secrétaire général de l'Otan dans une interview accordée au média allemand ARD.
«Nous devons soutenir l'Ukraine dans les bons comme dans les mauvais moments», a déclaré samedi le secrétaire général de l'Otan dans une interview accordée au média allemand ARD.
©JOHN THYS / AFP

Soutien confirmé

«Nous devons soutenir l'Ukraine dans les bons comme dans les mauvais moments», a déclaré samedi le secrétaire général de l'Otan dans une interview accordée au média allemand ARD.

«Les guerres se développent par phases […] Nous devons soutenir l'Ukraine dans les bons comme dans les mauvais moments», a déclaré samedi 2 décembre le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg à la chaîne allemande ARD. «Nous devons également nous préparer à de mauvaises nouvelles», a-t-il ajouté sans davantage de précision. Ses commentaires interviennent alors que les alliés occidentaux débattent des munitions et de l’aide financière accordée à l'Ukraine, tandis que de son côté, Moscou a annoncé augmenter le volume de ses forces armées. Le président russe Vladimir Poutine a ainsi signé vendredi un décret visant à augmenter le nombre de soldats russe de quelque 170 000 pour atteindre un total de 1,3 million.

Malgré de faibles évolutions sur la ligne de front ces derniers mois, Jens Stoltenberg met en exergue la résistance ukrainienne face à la flotte russe en mer Noire. «Ce sont de grandes victoires, même s'ils n'ont pas été en mesure de faire bouger la ligne de front». Le secrétaire général de l’Otan en a profité pour lancer un appel aux États membres de l’organisation militaire à augmenter la production de munitions, déplorant l'état fragmenté de l'industrie de défense européenne. «Nous ne sommes pas en mesure de travailler ensemble aussi étroitement que nous le devrions», a-t-il déclaré, exhortant les gouvernements à regarder au-delà de leurs intérêts nationaux et à avoir une vue d'ensemble.

Le Figaro

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