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Crise des migrants : pas d'accord sur les quotas lors du conseil extraordinaire des ministres de l'Intérieur de l'UE
©Reuters

ça patine

Reconnaissant que les débats avaient été "enflammés", le commissaire européen à l'immigration a toutefois estimé que des "progrès avaient été faits".

C'est un échec. Même si l'on ne peut pas encore le qualifier de "cuisant", les 27 n'ont pas trouvé d'accord lundi soir sur la question des quotats de migrants. "Une grande majorité d'États se sont engagés sur le principe d'une relocalisation des 120 000 réfugiés, mais tout le monde n'est pas pour l'instant à bord", a indiqué le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères Jean Asselborn après la sortie du conseil extraordinaire.

"Pour notre proposition sur les 120 000 (réfugiés), nous n'avons pas eu l'accord que nous voulions", a admis de son côté le commissaire à l'Immigration, Dimitris Avramopoulos reconnaissant que les débats avaient été "enflammés"; Il a malgré tout estimé que des "progrès avaient été faits". Les États membres ont comme prévu validé la décision de se répartir l'accueil de quelque 40 000 réfugiés en deux ans.

Pendant ce temps, la Hongrie a à son tour fermé ses frontières. Après l'Allemagne et l'Autriche, il s'agissait du troisième pays à le faire. Bernard Cazeneuve a expliqué pour sa part qu'il n'était pas question que la France ferme ses frontières avec l'Italie ou l'Allemagne comme le réclament les Républicains ou le FN.

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