Coronavirus et économie : la fin du «quoi qu’il en coûte» divise l'entourage présidentiel<!-- --> | Atlantico.fr
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©Reuters

L'après coronavirus

Et le fait que Bruno Le Maire ait qualifié la réforme des retraites de «priorité absolue» a crispé l'entourage d'Emmanuel Macron et celui de Jean Castex

Après près d’un an de crise sanitaire et donc de mesures économiques d’urgence, d’aides aux entreprises, aux salariés, le temps de la fin du «quoi qu’il en coûte» approche, note Le Figaro.

"«La situation actuelle a un coût pour les finances publiques. Le “quoi qu’il en coûte” ne peut pas durer jusqu’en 2022, il faut que tout le monde se mette au travail. Les amortisseurs sociaux, à un moment, ça se paye. Après le confinement, c’est au boulot!», prévient un haut gradé du pouvoir, qui n’exclut pas que la question du temps de travail soit posée" écrit le quotidien

Ce week-end Bruno Le Maire a qualifié la réforme des retraites de «priorité absolue» Cela n'a pas plus à tout le monde : «Non seulement Bruno Le Maire aurait pu attendre. Mais, surtout, il aurait pu prévenir!»,commente un visiteur du soir élyséen. «Dire que la réforme des retraites est une priorité absolue, c’est une connerie absolue», tranche enfin un historique de la campagne.

La priorité, c’est la lutte contre la crise» souligne l’entourage du premier ministre. Les macronistes sont donc divisés en deux camps : "d’un côté, les tenants d’un retour rapide de la réforme des retraites et, de l’autre, ceux qui considèrent le sujet trop inflammable pour le relancer avant la campagne présidentielle".

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