Brésil : pendant le pillage à Brasilia, les policiers ont été soit dépassés soit passifs<!-- --> | Atlantico.fr
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©Jose CABEZAS / AFP

Mise à sac

Dans le monde entier des responsables politiques ont apporté leur soutien à la démocratie brésilienne

Le Monde revient sur le pillage des lieux pouvoir brésilien, par des partisans de Bolsonaro, hier dimanche à Brasilia. Les forces de l'ordre ont été dépassées par les évenements pendant plusieurs heures.

"Les forces de l'ordre sont soit dépassées soit passives.  (...) des policiers souriants sont filmés en train de se prendre en photo au beau milieu de l’émeute. Certains paraissent même escorter les manifestants à travers les couloirs des édifices." écrit Le Monde

"Smartphone à la main, tous se filment : il s’agit d’immortaliser leur heure de gloire. Chacun se cherche un symbole, un trophée ou un souvenir. Dans le Tribunal suprême, la porte d’un placard, ornée du nom du juge Alexandre de Moraes, bête noire de Jair Bolsonaro, est arrachée et portée à travers la foule comme un butin de guerre. Plus loin, dressé sur une statue, un homme porte à bout de bras un épais ouvrage à la couverture sombre : un exemplaire original de la Constitution de 1988." ajoute Le Monde

"Au fil des heures, les actes sont de plus en plus extrêmes. En ligne, des vidéos circulent montrant un manifestant semblant déféquer sur un bureau. La foule va jusqu’à détruire un buste du grand militant abolitionniste Joaquim Nabuco. Des œuvres d’art, d’une valeur inestimable, sont vandalisées. Au Planalto, une peinture murale du moderniste Di Cavalcanti est furieusement tailladée par les bolsonaristes".

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