Baccalauréat : les épreuves de spécialité prévues en mars sont reportées à la mi-mai à cause de la pandémie de Covid-19<!-- --> | Atlantico.fr
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Les épreuves de spécialité du baccalauréat, initialement prévues du 14 au 16 mars, sont officiellement reportées au mois de mai pour cette année 2022, à cause de la Covid-19.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat, initialement prévues du 14 au 16 mars, sont officiellement reportées au mois de mai pour cette année 2022, à cause de la Covid-19.
©FREDERICK FLORIN / AFP

Crispation du monde de l’éducation

Les épreuves de spécialité du bac auront lieu du 11 au 13 mai 2022. Plusieurs syndicats enseignants ont obtenu gain de cause auprès du ministre de l’Education nationale.

Les épreuves de spécialité du baccalauréat, initialement prévues du 14 au 16 mars, sont officiellement reportées à la mi-mai en raison de l’épidémie de Covid-19, a dévoilé ce vendredi 28 janvier le ministère de l’Education nationale, à l’issue d’une réunion avec les représentants syndicaux. Ce report était réclamé par plusieurs syndicats enseignants qui ont obtenu gain de cause auprès du ministre de l’Education nationale :

« Les épreuves écrites de spécialité du baccalauréat général et technologique, qui devaient se tenir les 14, 15 et 16 mars, sont reportées aux 11, 12 et 13 mai. Le programme des épreuves sera le même que celui fixé pour le mois de mars. Les candidats n’auront donc pas plus de thématiques à réviser, mais uniquement plus de temps pour travailler le programme initial ».

Selon les éléments communiqués par le ministère de l’Education nationale, « les deux jours précédant les épreuves seront consacrés, dans les établissements, aux révisions des examens, les élèves de Terminale n’ayant que leurs cours de spécialité ».

Cette décision a été prise dans un contexte épidémique lié au Covid-19 toujours tendu.

Le ministère a consulté syndicats et représentants de parents et d’élèves avant d’annoncer sa décision, après avoir accepté des discussions sur un éventuel report ou des aménagements de ces épreuves à l’issue de la journée de forte mobilisation des enseignants du 13 janvier.

Dans son communiqué, le ministère souligne que la situation sanitaire actuelle « a des conséquences, non seulement sur l’organisation même des examens, mais aussi et surtout sur les conditions de préparation des candidats », en raison « des nombreuses et successives absences pour maladie » :

« Maintenir les épreuves inchangées au mois de mars aurait donc conduit à des ruptures d’égalité entre candidats selon les territoires ou les situations personnelles ».

En 2021 (lors de la première année du nouveau bac), ces épreuves avaient été annulées et remplacées par le contrôle continu.

Sud-Ouest

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