Attentats du 13 novembre 2015 : arrestation en Italie d'un homme soupçonné d'avoir aidé le commando de terroristes<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Terrorisme
Un ressortissant algérien a été arrêté en Italie en lien avec l’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015
Un ressortissant algérien a été arrêté en Italie en lien avec l’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015
©CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

Traque

Un ressortissant algérien a été arrêté en Italie en lien avec l’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015. Les investigations menées par la direction de l'antiterrorisme ont démontré que le suspect aurait fourni des pièces d'identité falsifiées aux auteurs des attaques, selon la police italienne.

Plus de cinq ans après, l'enquête sur les attentats du 13 novembre 2015 se poursuit en dehors des frontières françaises. L'agence italienne Ansa a annoncé, ce lundi 8 mars, que la police nationale italienne avait arrêté et mis en garde à vue un ressortissant algérien de 36 ans, dans la ville de Bari. Il est soupçonné d'assassinat et de participation à une organisation terroriste, selon des informations de Franceinfo.

L'enquête menée par la direction de l'antiterrorisme italienne a démontré qu'il aurait fourni des pièces d'identité falsifiées aux auteurs des attentats terroristes menés au Stade de France, au Bataclan et sur les terrasses des cafés et restaurants parisiens le 13 novembre 2015. L'homme évoluerait dans la mouvance islamiste radicale et ferait partie de l'Etat islamique.

Quatorze complices présumés des terroristes ont été renvoyés, en février, devant un tribunal correctionnel en Belgique. Il s'agit de suspects non retenus dans la procédure française. Le procès pourrait se dérouler durant le deuxième semestre de cette année, à Bruxelles.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !