Après avoir échappé à un rapatriement forcé, l'athlète bélarusse Tsimanouskaya est «en sécurité» en Pologne<!-- --> | Atlantico.fr
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Krystsina Tsimanouskaya durant une conférence de presse à Varsovie, le 5 août 2021.
Krystsina Tsimanouskaya durant une conférence de presse à Varsovie, le 5 août 2021.
©Wojtek Radwanski / AFP

Des JO plus politiques que jamais

Par craintes des représailles du Bélarus, la sprinteuse qui avait critiqué sa fédération a trouvé refuge en Pologne.

La sprinteuse bélarusse Krystsina Tsimanouskaya a refusé d'être rapatriée de force dans son pays, après avoir critiqué sa fédération sur les réseaux sociaux pendant sa participation aux Jeux Olympiques. Elle s'est réfugiée dans l'ambassade de Pologne à Tokyo, pays qui lui a accordé un visa.

Ce jeudi 5 août, elle est arrivée en Pologne, à Varsovie et a déclaré être «heureuse d'être en sécurité» en Pologne.

La sprinteuse dit être «surprise que la situation soit devenu un tel scandale politique» compte tenu du fait qu'il s'agissait au début d'une question sportive. «Je n'avais aucune idée que cette situation allait arriver», a-t-elle révélé. «Je veux juste poursuivre ma carrière sportive», a encore affirmé Tsimanouskaya.

Son mari a lui fui en Ukraine et a également obtenu un visa humanitaire en Pologne.

Craignant de se retrouver en prison si elle rentrait au Bélarus, Krystsina Tsimanouskaya avait obtenu l'aide du Comité international olympique (CIO) et une protection policière.

Le Figaro

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