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Edwy Plenel, le directeur de la publication de Mediapart.
Edwy Plenel, le directeur de la publication de Mediapart.
©PHILIPPE LOPEZ / AFP

Mediapart über alles

Ça c’est du journalisme.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Mediapart, pour nourrir son contenu, a lancé en écriture inclusive (on vous l’épargnera) un appel à témoins. Mais pas n’importe quels témoins : des témoins qui ont une connaissance « d’actes ou de paroles racistes » après la mort de Nahel.

Des témoins qui ont assisté à des « violences policières ». L’anonymat leur est garanti. Et grâce à ces témoignages, Mediapart fera un article pour stigmatiser la France raciste et fasciste.

On savait que Mediapart était une misérable officine journalistique. On sait maintenant qu’elle s’est transformée en structure policière. Témoigner, témoigner, il en restera toujours quelque chose...

Dans les années 40, des dizaines de milliers de lettres anonymes furent envoyées à la Gestapo et aux autorités de Vichy pour dénoncer les juifs. L’initiative de Mediapart y ressemble beaucoup.

Comme le dit brillamment Eric Naulleau, le site de Plenel « ne connaît que deux langues : la langue inclusive et la langue de l’occupant allemand ». Mediapart, c’est la Kommandantur. Si, comme des millions de Français, vous avez été témoin de la violence des émeutes, n’écrivez pas à Edwy Plenel. Vos lettres iront au panier. Car pour le patron de Mediapart, il n’y a pas eu d’émeutes mais « une révolte populaire » !   

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