Panayotis Pascot, l’humoriste cartonne dans les librairies<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Le comédien dépasse les Nothomb, Chalandon et Pourchet avec son premier roman «La prochaine fois que tu mordras la poussière», publié chez Stock.
Le comédien dépasse les Nothomb, Chalandon et Pourchet avec son premier roman «La prochaine fois que tu mordras la poussière», publié chez Stock.
©SEBASTIEN BOZON / AFP

Succès indéniable

Le comédien dépasse les Nothomb, Chalandon et Pourchet avec son premier roman «La prochaine fois que tu mordras la poussière», publié chez Stock.

Depuis qu’il y a fait son entrée avec son premier roman La prochaine fois que tu mordras la poussière, (Stock), l’humoriste Panayotis Pascot est l’auteur le plus demandé de la rentrée littéraire. Il a d’ores et déjà vendu 76 000 exemplaires de son livre, selon GfK. Sans compter que les 500 places qui étaient offertes au public, via son compte Instagram, pour assister à sa lecture au théâtre Antoine le 2 octobre dernier, sont parties en 3 minutes!

«L’engouement autour de son livre n’est pas une surprise, commente son éditrice Paloma Grossi. Très tôt, on a senti un véritable intérêt pour le roman au sein de Stock. Le livre part de l’intime pour aller vers l’universel.» Dans ce roman, une autofiction, il est question de l’auteur, de ses amours, de sa famille et de ses angoisses. Il a la plume nerveuse, rageuse, des mots parfois crus pour parler de l’homosexualité et de la dépression. «Mais l’ampleur du phénomène, lui, est une surprise, ajoute l’éditrice. Je n’ai jamais vu ça pour un premier roman en rentrée littéraire!»

Un succès que confirme la prestigieuse librairie Mollat de Bordeaux. «La prochaine fois que tu mordras la poussière est notre meilleure vente, et de loin, en littérature française. Son démarrage est comparable à celui de Cher Connard de Virginie Despentes l’année dernière. On en vend tous les jours depuis un mois, soit une vingtaine par jour.» Même son de cloche au Hall du livre à Nancy, qui connaît «des ventes impressionnantes».

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !