Contenus en rapport avec le mot-clé Donald Trump

L’animateur américain Jimmy Kimmel, figure emblématique de la télévision US, a été privé d’antenne après avoir dénoncé l’instrumentalisation politique par la droite américaine du meurtre de l’influenceur pro-Trump Charlie Kirk. La chaîne ABC a annoncé la suspension de son "late show" pour une durée indéterminée.

Première femme présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum a présidé pour la première fois les commémorations de l’indépendance. Face aux pressions américaines, elle a martelé que « aucune ingérence n’est possible dans notre patrie ».

Pour sa seconde visite d’État au Royaume-Uni, Donald Trump a été accueilli mercredi par le roi Charles III dans l’écrin feutré du château de Windsor. Entre sécurité maximale, cérémonial royal à huis clos et polémiques persistantes, la journée a mêlé faste monarchique et prudence diplomatique.

Le 17 septembre 2025, Londres a scellé un accord technologique historique avec Washington : plus de 40 milliards de dollars investis dans l’IA, le quantique et l’énergie, et la promesse de faire du Royaume-Uni le hub atlantique de la révolution numérique. Derrière le faste de la visite éclair de Donald Trump à Londres du 16 au 18 septembre, c’est une véritable stratégie industrielle et géopolitique qui se dessine et un avertissement clair adressé à l’Europe.

À Windsor, tout est prêt pour accueillir Donald Trump comme un souverain, avec carrosses, dorures et tapis rouges. Pas de bain de foule cette fois-ci, mais un faste calibré pour flatter l’ego présidentiel. Car si Trump vient discuter commerce et Ukraine, il rêve surtout d’un selfie royal.

Si les indicateurs semblent résister, voilà les signaux plus inquiétants qu’un certain nombre d’observateurs semblent manquer.

Donald Trump a adressé une mise en garde à Israël après l’attaque menée à Doha, au Qatar, contre plusieurs responsables du Hamas. L’opération israélienne, qui a eu lieu mardi dernier, a provoqué la mort de cinq membres du Hamas ainsi que d’un agent des forces de sécurité qataries. Cet événement a déclenché de vives réactions dans la région et a poussé Washington à clarifier sa position.

L’assassinat de Charlie Kirk, figure médiatique de la droite trumpiste, révèle une Amérique minée par la violence politique, la radicalisation solitaire et un climat où l’idéologie se mêle aux fractures sociales et culturelles.

Deux jours après l’assassinat de Charlie Kirk, figure conservatrice de 31 ans, le suspect recherché a été arrêté, selon une déclaration de Donald Trump vendredi matin sur Fox News. Le président américain a affirmé que l’interpellation avait été rendue possible grâce aux signalements de proches du fugitif, notamment de son père et d’un pasteur.

À un moment donné, les citoyens ordinaires et respectueux des lois vont en avoir assez du désordre protégé et excusé par leurs élites dirigeantes libérales dégénérées.

La traque se poursuit dans l’Utah. Depuis mercredi, les forces de l’ordre mènent une chasse à l’homme d’une ampleur rare après la fusillade qui a coûté la vie à l’activiste conservateur Charlie Kirk, 31 ans, abattu en plein jour sur le campus de l’Utah Valley University.

Tandis que l'Ukraine souffre sous des attaques aériennes de plus en plus massives, et que le président américain Trump s'acharne dans sa volonté d'arracher un deal à son homologue russe, la question de la capacité de Moscou a poursuivre la guerre se pose. L'économie de guerre, sous perfusion, semble en surchauffe... Au point de dérailler bientôt ? Décryptage.

Aux États-Unis, l'assassinat supposément politique de Charlie Kirk fait monter les tensions et nourrit la crainte d'une guerre civile entre l'Amérique MAGA et l'Amérique Woke. Ce scénario est pourtant hautement improbable, comme l'a régulièrement démontré l'histoire du pays, parcourue d'assassinats similaires et de moments de réconciliation. Décryptage.

L’assassinat de Charlie Kirk, jeune figure conservatrice américaine, marque un tournant : celui qui incarnait le dialogue et le respect des opinions contraires a été abattu, révélant la violence croissante du climat politique.

La présidente de la Commission européenne a tenu son discours annuel sur l’état de l’UE devant le Parlement européen et s’est attirée les foudres de nombreuses critiques cherchant à lui faire porter son chapeau mais aussi le leur.

L’opération coup de poing menée par la police de l’immigration américaine dans une usine de batteries en Géorgie a provoqué une onde de choc jusqu’à Séoul. Parmi les 475 travailleurs arrêtés jeudi, plus de 300 seraient sud-coréens. Le gouvernement de Séoul a exprimé samedi sa « profonde préoccupation » et promet une mobilisation diplomatique face à ce qu’il considère comme un traitement injuste de ses ressortissants.

De plus en plus d’Américains transgenres et chercheurs invoquent l’asile en Europe face à l’« Amérique de Trump ». Mais leurs demandes se heurtent au scepticisme et au refus des États européens.

À Pékin, Xi Jinping a transformé un défilé militaire en tribune mondiale, multipliant démonstrations de force et appels à un « nouvel ordre » face à l’Occident. Entre mise en scène de puissance et aveu de fragilité, que révèle vraiment ce bras de fer avec Washington ?

Les États-Unis ont frappé un bateau parti du Venezuela, accusé de transporter de la drogue. Onze « narcoterroristes » ont été tués, illustrant la stratégie militaire offensive de Washington contre le trafic et Caracas.

L’image a fait le tour du monde : Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong-un côte à côte sur la place Tiananmen. À travers ce défilé militaire grandiose, la Chine a voulu afficher sa puissance et son rôle de pivot d’un axe contestataire face à l’Occident. Entre gestuelle symbolique, discours offensif et alliances renforcées, Pékin a orchestré une démonstration qui sonne comme un défi géopolitique.