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DSK : "La politique, pour moi, c'est du passé"
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The end

Après la diffusion d'une rumeur affirmant que Dominique Strauss-Kahn se serait vu proposer un poste de conseiller par le gouvernement serbe, l'ancien patron du FMI a corrigé le tir à la télévision russe.

Dans une interview donnée à la télévision russe « Rossia 24 », l’ancien patron du FMI a annoncé  très clairement que la politique était bel et bien fini pour lui, en déclarant : "la politique, pour moi, c’est du passé".

Dans cette interview, Dominique Strauss-Kahn commente la situation économique mondiale et l’affaire Snowden, mais il revient aussi sur son arrestation à New York en 2011 et ses ambitions passées - en particulier l'élection présidentielle de 2012. Aujourd’hui, l’homme semble avoir tourné la page et déclare souhaiter désormais se consacrer à ses nouvelles fonctions de conseil. "Aujourd’hui j’œuvre en tant que conseiller de gouvernements et de grandes entreprises dans de nombreux pays, dans tous les coins du monde : en Russie, en Afrique, en Amérique latine (...) J’essaie comme je peux de remplir mon rôle et de donner des conseils aussi pertinents que possible" - mais pas en Serbie, où sa présence était également relayée par une rumeur récurrente.

L’ancien homme politique reconverti en conseiller continue d’utiliser ses talents d’économiste : il a été nommé en juillet membre du conseil de surveillance de deux institutions financières détenues majoritairement par les pouvoirs publics russes : le Fonds russe des investissements directs (RDIF) et la Banque russe de développement des régions (BRDR). Il est également l’un des conférenciers français les mieux payés au monde.

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