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Marine Le Pen dément des cas de harcèlement sexuel au Front national
©AFP

Défense

Invitée sur France 3, la présidente du FN a jugé "scandaleux" un article du Monde accusateur.

En pleine tempête sur les scandales sexuels, c'est le Front national qui est désormais visé par un article du Monde. Le journal affirme que plusieurs femmes auraient été victimes d'harcèlement. C'est notamment le cas d'Aurélie Cournet, conseillère régionale FN d'Île-de-France, qui accuse  son ex-collègue Pierre-Charles Cherrier de violences. "Il a voulu me parler, et comme j’ai refusé il m’a forcée à le suivre en m’arrachant des mains mon téléphone portable" raconte-t-elle. "Il m’a piégée en m’entraînant jusqu’à l’intérieur de la salle de réunion du conseil régional, où il m’a arraché ma robe puis m’a giflée et m’a ensuite poussée violemment contre le mur où je me suis écroulée par terre."

Invitée sur France 3, Marine Le Pen s'est montrée très critique contre cet article. "J'ai trouvé l'article du Monde profondément scandaleux car, dans deux affaires, en l'occurrence, il ne s'agit pas de harcèlement. On mélange tout. Il s'agit de séparations de deux couples, séparations qui se sont mal passées" précise-t-elle. "Dans un des deux cas, c'est même le trésorier d'un président du groupe du FN qui est allé au commissariat avec la jeune femme pour l'accompagner dans sa plainte."

En revanche, elle n'évoque pas un cas plus sensible encore. Un de ses plus proches collaborateurs, Axel Lousteau, est aussi visé pour avoir harcelé une ancienne collaboratrice entre 2015 et 2016, notamment en déposant une cartouche de 9 mm sur son bureau.

Lu sur Le Lab

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