La justice donne son accord à la vidéosurveillance de Salah Abdeslam<!-- --> | Atlantico.fr
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La justice a refusé la demande de l'avocat de Salah Abdeslam pour mettre un terme à la vidéosurveillance de son client.
La justice a refusé la demande de l'avocat de Salah Abdeslam pour mettre un terme à la vidéosurveillance de son client.
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Débouté

La vidéosurveillance permanente de Salah Abdeslam, dernier terroriste vivant du commando du 13 novembre, sera poursuivie. Le tribunal administratif de Versailles a refusé vendredi la requête de son avocat.

La vidéosurveillance 24 heures sur 24 et sur trois mois de Salah Abdeslam, incarcéré à Fleury-Mérogis, remonte à l'arrêté ministériel du 17 juin 2016. Elle avait été décidée pour éviter tout suicide ou évasion du détenu.

L'avocat de Salah Abdeslam avait demandé la suspension de cette mesure qu'il estime être une violation de la vie privée, en s'appuyant sur l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'Homme sur le droit au respect de la vie privée et familiale.

Le tribunal administratif de Versailles a rejeté sa requête vendredi matin. La vidéosurveillance de Salah Abdeslam est donc maintenue.

Il n'y a pas d'urgence à statuer, d'après les trois juges des référés, étant donné notamment les circonstances exceptionnelles liées aux attentats de novembre qui nécessitent la mise en œuvre de moyens d'envergure pour empêcher un suicide ou une évasion de Salah Abdeslam, dernier des djihadistes qui ont mené les attentats du 13 novembre en vie.

L'express

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