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Loi Travail, Brexit… les réactions politiques de la matinée
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Tour d'actu

L'actualité était dominée par la nouvelle contestation des syndicats mais aussi sur les suites du Brexit.

Valéry Giscard d'Estaing (Europe 1)

"Les Anglais ne sont pas sortis de grand-chose : ils avaient des exceptions sur pratiquement tous les sujets importants" tranche l'ancien président de la République. "Les anglais sortent de quelque chose dont ils faisaient peu partis en fait."

Jacques Toubon (Europe 1)

"L'ouverture des voies légales de l'immigration est la solution" a martelé le Défenseur des droits. "30% des migrants qui se sont noyés depuis quelques années sur les côtes européennes sont des enfants, et 30 % des demandeurs d’asile sont des enfants, ce qui veut dire que la question des migrants mineures est centrale." Pour l'ancien ministre de Jacques Chirac, "il va y avoir un jour où, pas seulement pour des raisons humanitaires, mais pour des raisons politiques, il va y avoir un renversement : on va se rendre compte que les politiques de contrôle des flux migratoires sont le problème."

Hervé Mariton (L'Opinion)

"Un référendum doit être organisé à l’échelle européenne" propose le candidat à la primaire de droite. "Il faut maintenant repenser à la refondation de l’Europe et la France doit en donner l’impulsion" affirme-t-il.

Eric Woerth (France Info)

Pour l'ancien ministre du Travail, la protestation contre la réforme du gouvernement s'éternise beaucoup trop. "Ça commence à bien faire, il est temps que ça s'arrête" clame-t-il. "Il est temps que la loi soit devant le Parlement à l'Assemblée nationale, qu'elle revienne du Sénat." Il a par ailleurs largement critiqué l'emploi du 49-3 "arme des faibles. Le gouvernement aurait dû avoir une majorité. Il a tout faux depuis le début sur cette affaire."

Laurent Berger (France 2)

"L'utilisation du 49.3 n'est pas la bonne méthode pour un texte qui prône le dialogue" affirme le patron de la CFDT. "Mais ce n'est pas mon problème, c'est celui du gouvernement." Il n'a pas caché son animosité envers les syndicats qui défilent ce mardi. "Je n'ai rien à dire" à Philippe Martinez (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO), tranche-t-il. 

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