Le mystérieux groupe "Evacuation Squad" revendique les alertes à la bombe dans les lycées parisiens <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Après avoir fait évacuer les établissements désignés, la police n'a jamais trouvé de dispositif explosif.
Après avoir fait évacuer les établissements désignés, la police n'a jamais trouvé de dispositif explosif.
©Reuters

Enquête

Ce groupe qui "déteste l'autorité" et "adore semer le chaos" serait composé de 6 personnes installées dans différents pays.

En France comme à l'étranger, plusieurs lycées ont dû être évacués depuis une dizaine de jours après avoir été visés par des alertes à la bombe. Selon certains internautes, ces menaces récurrentes pourraient avoir été lancées par un seul et même groupe, baptisé "Evacuation Squad".

Des alertes à la bombe semblables à celles qui ont visé la semaine dernière 6 lycées parisiens sont également survenues aux Etats-Unis, en Angleterre ou en Australie, avec le même mode opératoire : le personnel de l'établissement reçoit un appel téléphonique pré-enregistré l'informant de la présence d'un engin explosif dans le lycée, ou bien de celle d'un homme armé prêt à ouvrir le feu. Mais après avoir fait évacuer les établissements désignés, la police n'a jamais trouvé de dispositif explosif. 

D'après les informations publiées ce mercredi par le journal Le Monde, une grande partie de ces fausses alertes a été revendiquée par un compte Twitter nommé "Evacuation Squad" (brigade d'évacuation). Si le compte en question a été supprimé du réseau social, on pouvait y voir un drapeau du Hezbollah ainsi que le portrait de Vladimir Poutine.

Ce groupe qui "déteste l'autorité" et "adore semer le chaos" serait composé de 6 personnes installées dans différents pays. Un tweet publicitaire pouvait y être lu : "Vous voulez sécher les cours une journée ? Vous voulez attirer la police loin d'un crime que vous êtes sur le point de commettre ? Envoyez-nous un mail".

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !