Élections régionales : Pécresse et Bertrand ne veulent pas de Sarkozy dans leurs meetings <!-- --> | Atlantico.fr
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Sur BFM TV et RMC, Xavier Bertrand a lui aussi affirmé qu'aucun "ténor" des Républicains ne sera présent à ses réunions.
Sur BFM TV et RMC, Xavier Bertrand a lui aussi affirmé qu'aucun "ténor" des Républicains ne sera présent à ses réunions.
©Reuters

Persona non grata

"Maintenant, c'est moi qui vais diriger la région, c'est moi que les Franciliens veulent entendre, c'est moi qu'ils veulent juger", estime Valérie Pécresse, qui conduit la liste LR-UDI-MoDem en Ile-de-France.

Valérie Pécresse et Xavier Bertrand, respectivement tête de liste LR-UDI-MoDem aux élections régionales en Ile-de-France, et dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy, ni aucun autre "ténor" des Républicains ne se rende à leurs meetings de campagne. "Ça n'est pas le président de mon parti qui se présente" aux élections, a déclaré Valérie Pécresse ce mardi sur i>Télé, expliquant que "ni lui, ni Alain Juppé, ni François Fillon, ni Bruno Le Maire, aucun ténor national" ne sera présent à ses réunion publiques.

"Je vous rappelle que nous avons lancé notre campagne au pavillon Baltard avec tous les ténors de la droite, nous avons montré l'unité de la droite et du centre (...) dans cette campagne, derrière moi (…) Maintenant, c'est moi qui vais diriger la région, c'est moi que les Franciliens veulent entendre, c'est moi qu'ils veulent juger" a-t-elle ajouté. 

Sur BFM TV et RMC, Xavier Bertrand a lui aussi affirmé qu'aucun "ténor" des Républicains ne sera présent à ses réunions : "Ni Alain Juppé ni François Fillon, pas même avant le premier tour (…) Parce que je ne la supporte plus, la politique nationale, cette politique où tout le monde pense à son nombril. À la réunion d'hier (le bureau politique des Républicains), chacun était en train de fourbir ses armes pour l'après, tout le monde retient ses coups. Cette campagne, je l'ai voulue locale, avec des gens de chez nous. Et comme dans mes différents meetings il n'y avait pas des tonnes de caméras, ça les passionnait moins, aussi" a déclaré l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy.

Lu sur Le Point

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