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Terrorisme : arrestation d'un homme qui ciblait, entre autres, la Tour Eiffel et le Louvre
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Selon des informations du Parisien en date de ce mercredi, un djihadiste algérien appelé Ali M. envisageait de mener des attentats sur le territoire.

Les profils des djihadistes revenant de Syrie en France sont "inquiétants" mais "la principale menace" pour la France vient d'Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique), estime le juge antiterroriste Marc Trévidic, dans un entretien publié mercredi dans Le Parisien. Mais la France a-t-elle pour autant échappé à des attentats en 2013 ? A en croire des messages cryptés échangés entre Ali M., un Algérien installé en France, et un haut responsable d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), il semble que la réponse soit positive. C'est en tout cas ce qu'assure ce mercredi Le Parisien

Plus précisément, selon le quotidien, cet individu envisageait de commettre des attentats contre le Louvre, la Tour Eiffel, des centrales nucléaires françaises ou encore des festivals, des bars et autres boîtes de nuit. Fort heureusement, Ali M. a été arrêté l'an dernier par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), alors qu'il tentait de rejoindre le sud de l'Algérie pour s'y entraîner. "Depuis, il dort en prison"  précise le quotidien qui ajoute qu'une information judiciaire pour "association de malfaiteurs" a été ouverte à son encontre

Agé de 29 ans, père de deux enfants installé dans le Vaucluse où il travaillait dans une boucherie halal, Ali M. s'appelait Abu Naji sur le site internet islamiste auquel il contribuait. Le 2 avril 2013, il écrivait par exemple : "L’objectif qui mérite d’être visé s’avère la population française modeste et paupérisée." Le 1er mai, Ali M. fait part de son intention d'aller s'entraîner en Algérie. "Le plus important à retenir est que je vous annonce que, grâce à Dieu, je suis fin prêt et bien paré", écrit-il à son interlocuteur. Le 17 juin, il a son billet. "J’arriverai dans la capitale tunisienne le 22 juillet", se réjouit-il. Huit jours après ce message, il est arrêté. 

lu sur Le Parisien

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