Série de l'été
Ces échecs qui mènent au succès
Ils sont à la tête d’entreprises ou de start-up que tout le monde connait. Pourtant, derrière ces success-story se cachent un ou plusieurs échecs que ces patrons auraient bien voulu éviter. Pour la première fois, 15 entrepreneurs nous livrent un témoignage de leur pire défaite et nous donne les clés qui leur ont permis de rebondir pour construire le succès commercial que l’on connait aujourd’hui.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Et si l’échec était un moteur de croissance ?
Le progrès naît des erreurs et plutôt que d’inscrire le principe de précaution dans la Constitution française, on devrait revendiquer haut et fort le droit de se planter.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Marc Simoncini : "La plus belle chance de ma vie a été de perdre tout mon argent"
Pour lancer le site de rencontre Meetic, Marc Simoncini finance son projet par un emprunt gagé sur des actions issues de la vente de sa précédente affaire. Mais quand un matin la bourse s’effondre, il faut trouver une solution rapide pour sortir du cauchemar.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Benjamin Cardoso - Le Cab : "Nous avions seulement deux mois pour nous mettre en conformité avec la loi"
Lorsqu'il lance sa start-up en 2012 Benjamin Cardoso, fondateur de Le Cab, service de VTC concurrent français du géant Uber, sait qu'il s'attaque à un marché en plein développement. Il est pourtant loin de s'imaginer l'impact que peut avoir l'évolution de la réglementation.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Frédéric Mazzella - BlablaCar : "Nous avons testé 6 business model avant de trouver le bon"
Avant d'être le succès commercial et médiatique que chacun connait, le site de covoiturage a testé de nombreuses formules pour parvenir à pérenniser ses activités. Des tentatives qui ont donné quelques sueurs froides à son fondateur.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Bertile Burel - Wonderbox : "Notre erreur, c'était de penser que l'on pouvait lancer deux marchés en même temps"
Lancé en 2004 par Bertile Burel et James Blouzard, Wonderbox est le leader incontesté sur le marché du coffret cadeau. Pourtant, le couple d'entrepreneurs a connu quelques difficultés au démarrage. En cause, l'idée selon laquelle ils pouvaient lancer le concept à la fois en France et aux États-Unis. Un mauvais calcul qui s'est soldé par une décision difficile à prendre.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Grégory Dorcel : "On n’avait pas réalisé à quel point le prix était un élément stratégique de notre offre"
A la fin des années 2000, l’entrepreneur décide de lancer une ligne de lingerie, boosté par le succès des précédents produits dérivés. Une ambition stoppée net en raison d’un positionnement prix aux antipodes des valeurs de la marque Dorcel.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Yannick Pons - VivaStreet : "La rentabilité proposée à nos investisseurs n’était pas suffisamment ambitieuse"
Yannick Pons est aujourd’hui à la tête du groupe W3 Inc. détenant notamment Vivastreet et EasyRoommate. Lorsqu’il a développé appartager.com, le pendant français d’EasyRoomate, il s’est heurté à un problème récurrent chez les entrepreneur : celui de la levée de fonds.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Ludovic Huraux - Attractive World : "Ma pire erreur a été de sous-estimer la complexité technique de mon projet"
A 24 ans, Ludovic Huraux lance Attractive World. Le principe, proposer aux membres de son site de rencontre d’accepter ou non les nouveaux entrants afin d'offrir une sélection de profils plus qualitative que ses concurrents.
Série de l'été : Ces échecs qui mènent au succès
Paulin Dementhon - Drivy : "Solitaire et fermé sur mon idée, je suis resté isolé dans mon coin"
Paulin Dementhon a développé en 2010 Drivy, la plateforme de location de voitures entre particuliers qui ambitionne aujourd'hui de s'étendre sur tout le marché européen.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Stéphane Treppoz - Sarenza : "Parce qu’ils avaient signé un contrat, j’ai cru qu’ils s’engageraient à le respecter"
Stéphane Treppoz prend en 2007 la tête de la start-up Sarenza, acteur de la vente en ligne de chaussures, à l'époque au bord du dépôt de bilan. Mais avant d'atteindre les 150 millions d'euros de chiffre d'affaires que l'entreprise connaît aujourd'hui, l'entrepreneur s'est retrouvé confronté à la déloyauté de ses actionnaires.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Vincent Ricordeau - KissKissBankBank : "Je commençais à 21 ans à prendre la grosse tête"
Monter sa boîte très jeune, c'est certainement la meilleure des écoles. Mais cela n'empêche pas les embûches : Vincent Ricordeau, le co-fondateur de KissKissBankBank, le leader européen du crowdfunding, est passé par là. Il revient sur l'importance de bien choisir, dès le départ, ses associés.
Série de l'été : Ces échecs qui mènent au succès
Jean-Emile Rosenblum - The Kase : "On peut miser sur des hommes mais ce n’est jamais suffisant"
En 2000, Jean-Emile Rosenblum a fondé avec son frère Steve le site Pixmania.com. Il est aujourd'hui à la tête de l'enseigne The Kase, spécialiste des accessoires pour mobiles. Il revient sur l'importance du temps à accorder dans la recherche des ses associés.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Dan Serfaty - Viadeo : "Notre échec en Inde nous a incité à repenser notre stratégie d'implantation"
À la tête du réseau social professionnel qui compte aujourd'hui plus de 65 millions d'utilisateurs dans le monde, Dan Serfaty a pourtant commis des erreurs stratégiques qui l'ont amené à redéfinir la manière dont il devait développer Viadeo hors des frontières françaises.
Série de l'été : Ces échecs qui mènent au succès
Arnaud Portanelli - Lingueo : "Nous avons mis trois ans pour comprendre les besoins de nos clients"
Arnaud Portanelli est co-fondateur de Lingueo, une plateforme de cours de langue en ligne. Avant de connaître le succès qui est le sien, l'entrepreneur est passé par une période de trois années pendant lesquelles sa start-up ne décollait pas. La cause, une erreur de jugement du marché auquel il s'attaquait.
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Laigneau - Gemmyo : "En ratant le concours de l'ENA, j'ai donné un sens à ma vie"
Co-fondatrice du joaillier en ligne Gemmyo et forte de son succès, Pauline Laigneau veut aujourd'hui exporter sa plateforme en Allemagne et en Angleterre. Pourtant, envisageant une carrière dans la haute administration, la brillante normalienne n'avait au départ pas vocation à se lancer dans entrepreneuriat. Jusqu'à son échec au concours d'entrée à l'ENA.
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