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La "carte postale" de Jean-François Copé à Nicolas Sarkozy.
La "carte postale" de Jean-François Copé à Nicolas Sarkozy.
©Reuters

Confidentiel

Très irrité de porter seul le chapeau des dépenses de campagne inconsidérées de 2012, Jean-François Copé a souligné qu'il pourrait mettre à disposition tous les éléments "de 2007 à 2012". "C'était la petite carte postale de Jean-François à Nicolas Sarkozy", explique un cadre de l'UMP qui a participé à la réflexion préparatoire à la contre-offensive de Jean-François Copé.

Le président de l'UMP a longuement réfléchi avant de décider de "renverser la table", selon l'expression de l'un de ses proches, avec cette déclaration solennelle d'hier.

D'autres options se présentaient à lui, notamment une, plus défensive, qui aurait été de répondre point par point à l'enquête du Point et de rester dans le registre de la victimisation. Mais visiblement, le patron de l'UMP a choisi de réserver ses réponses et documents pour le procès qu'il compte intenter au magazine dirigé par Franz-Olivier Giesbert devenu le pire ennemi de la "Copéïe". Et de contre-attaquer en visant certains médias mais pas seulement.

Très irrité de porter seul le chapeau des dépenses de campagne inconsidérées de 2012, Jean-François Copé a souligné qu'il pourrait mettre à disposition tous les éléments "de 2007 à 2012". "Il faut comparer ce qui est comparable, explique un cadre de l'UMP qui a participé à la réflexion préparatoire à la contre-offensive. Pour savoir s'il y a eu surfacturation en 2012, on devra décortiquer les factures des meetings et des déplacements de 2007. C'était la petite carte postale de Jean-François à Nicolas Sarkozy". En amitié, c'est comme en amour, il faut parfois savoir envoyer des signes forts...

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