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Les socialistes candidats sous l'étiquette "La République en marche" devront affronter un candidat PS, affirme Cambadélis
©PATRICK KOVARIK / AFP

Et maintenant ?

Manuel Valls a annoncé mardi qu'il sera "candidat de la majorité présidentielle" pour les élections législatives, et qu'il souhaitait (s')'inscrire" dans le mouvement d'Emmanuel Macron, rebaptisé "La République en marche".

  • Emmanuel Macron a démissionné de la présidence d'En marche!
  • Ce mardi, il célèbre la journée de l'Europe
  • Son parti se met en ordre de bataille pour les législatives
  • Le parti Les Républicains réunit son bureau politique à 17h30
  • Manuel Valls va rejoindre "la majorité présidentielle"

>>>> À lire aussi : Formation du gouvernement et investitures aux législatives : casse-tête chez Macron, cas de conscience à droite

21h40 : le bureau national du PS a approuvé la plateforme programmatique

Le bureau national du PS a approuvé la plateforme programmatique pour ses candidats aux législatives, qui abandonne de nombreuses propositions de Benoît Hamon, au grand dam de certains de ses soutiens, et fixe certaines lignes rouges au programme de Macron.

21h00 : François Baroin évoque le projet des Républicains (LR) pour les élections législatives 

Dans un entretien exclusif accordé au Figaro, le sénateur maire de Troyes a défendu le projet de son parti politique en vue des élections législatives du mois de juin : 

"Dans ce nouveau projet, vous retrouverez des idées qui ont été portées par Nicolas Sarkozy, par Alain Juppé et par les autres candidats. Nous voulons rendre du pouvoir d'achat aux Français. Il n'y aura ni hausse de la TVA, ni hausse de la CSG, mais une baisse de 10 % de l'impôt sur le revenu pour tous les ménages et nous relèverons le plafond du quotient familial. Nous rétablirons l'universalité des allocations familiales. Les petites retraites seront augmentées de 300 euros et les petites pensions de réversion de 10 %", explique François Baroin. 

20h15 : Malek Boutih a demandé l'investiture du mouvement "La République en Marche" 

Malek Boutih, député PS de l'Essonne, a indiqué avoir fait sa demande "dimanche par Internet" pour être investi par le mouvement d'Emmanuel Macron. "Ce qui compte ce ne sont pas les formulaires, mais c'est de savoir si un certain nombre de personnalités, comme Manuel Valls ou moi, peuvent être utiles pour une majorité présidentielle", a-t-il déclaré dans les couloirs du Palais Bourbon. 

19h00 : Marion Maréchal-Le Pen annoncera mercredi qu'elle quitte la politique

Selon les informations de nos confrères du journal "Le Parisien", confirmées par plusieurs sources dont l'AFP, la députée du Vaucluse a décidé d'arrêter la politique. Devenue la plus jeune députée en 2012, Marion Maréchal-Le Pen ne se représentera aux élections législatives de juin 2017 et quittera son poste de conseillère régionale. La nièce de Marine Le Pen souhaite se consacrer à sa fille et changer de vie, et pourquoi pas "aller dans le privé". "Je respecte ton choix. Je sais ce que demande la politique, je sais les sacrifices que ça exige", lui aurait dit sa tante, Marine Le Pen, selon Le Parisien.  

18h25 : un nouveau parti de centre-droit s'apprêterait à voir le jour, avec l'aval d'Alain Juppé

D'après les informations du Canard Enchaîné à paraître mercredi 10 mai, le maire LR de Valenciennes Laurent Degallaix et celui du Havre, Edouard Philippe, seraient sur le point de créer un nouveau parti de centre-droit, avec l'aval d'Alain Juppé. Par ailleurs, le nom d'Edouard Philippe est fréquemment évoqué pour Matignon depuis la victoire d'Emmanuel Macron. 

18h05 : le bureau politique des Républicains va examiner mardi soir une plateforme programmatique en vue des législatives.

D'après les informations de la chaîne LCI, le bureau politique des Républicains va examiner ce soir cette plateforme programmatique en vue des législatives. 

"Suppression de 300.000 fonctionnaires, baisse de 10% de l'impôt sur le revenu pour tous, défiscalisation des heures supplémentaires, hausse des petites retraites, retour à l'universalité des allocations familiales et baisse de la fiscalité sur les successions", peut-on lire sur le site de la chaîne. 

17h20 : Selon son ex-conseiller, François Hollande a voté pour Emmanuel Macron dès le 1er tour 

Dans un documentaire qui sera diffusé mardi soir sur France 5, Bernard Poignant, ex-conseiller du président de la République sortant, a affirmé que ce dernier avait voté pour Emmanuel Macron dès le 23 avril. 

"Quand je l'ai vu un peu avant le premier tour, je lui ai dit 'Écoute, dimanche prochain, donc 23 avril, nous aurons le même vote : Macron'", a déclaré à France 5 Bernard Poignant, ancien proche conseiller de François Hollande. "Et il m'a dit à l'époque 'Ce sera mon vote, mais un vote de raison'."

16h30 : Geoffroy Didier (LR) : "Non, Emmanuel Macron n'est pas François Hollande"

Le vice-président LR de la région Ile-de-France, Geoffroy Didier, a estimé ce mardi dans un communiqué que la droite devra "peser plus que s'opposer" durant le quinquennat d'Emmanuel Macron. Soulignant que le nouveau président est parvenu à "propulser une nouvelle génération que Les Républicains n'ont jusqu'ici pas voulu incarner", le cofondateur de La Droite forte juge que la droite doit inventer "de nouveaux comportements, loin des vieilles pratiques" qui consisteraient à faire "de l'obstruction". 

"Non, Emmanuel Macron n'est pas François Hollande (…) Croire que la droite pourrait s'opposer à Emmanuel Macron comme elle s'est opposée à François Hollande serait ne rien comprendre à la nouvelle situation politique", a-t-il ajouté. 

16h00 : Alain Juppé n'est pas "partisan" d'une "obstruction systématique" ni d'une "opposition frontale" contre le futur gouvernement

Le maire de Bordeaux a affirmé ce mardi qu'il n'était pas partisan d'une "obstruction systématique et d'une opposition frontale" contre un gouvernement Macron si jamais Les Républicains et l'UDI n'obtenaient pas la majorité absolue aux législatives.

15h45 : Jean-Christophe Cambadélis : "Il n'y aura pas deux étiquettes différentes" aux législatives 

"Il n'y aura pas de candidats avec deux étiquettes différentes. Ceux qui se présentent avec l'étiquette En Marche! auront un candidat (PS, ndlr) face à eux, c'est ce qu'a dit Jean-Christophe Cambadélis", a affirmé à la presse le député Pascal Cherki, proche de Benoît Hamon, à la sortie du Bureau national du PS.

15h00 : "vous ne bénéficierez d’aucun état de grâce" lance la CFDT à Macron

Le syndicat a mis en garde le nouveau président de la République dans une tribune publiée sur le Monde. "Une nouvelle réforme du code du travail, surtout si elle est menée sans concertation, ne peut pas être une recette miracle" prévient le syndicat. "La CFDT ne sera ni un allié docile, ni un opposant de principe, mais une organisation syndicale qui assume en toute indépendance à la fois son rôle de contre-pouvoir et de contributeur à l’intérêt général."

14h30 : une plate-forme PS pour les législatives

14h25 : Xi Jinping prêt à "défendre" l'accord de Paris avec Macron

Le président chinois a appelé le nouveau chef d'Etat français pour lui assurer son soutien dans ce dossier, mis à mal par l'administration Trump.

13h55 : Renaud Muselier prend la tête de la région PACA

Selon la Provence, le député prend la succession de Christian Estrosi, qui souhaite redevenir maire de Nice. Une information confirmée par le conseil régional. 

13h : le cas Valls n'est pas une priorité au PS

12h30 : "Dès lors que vous allez avec En marche !, vous n'êtes plus aux Républicains", affirme Rachida Dati

Interrogée par le Figaro, l'ancienne ministre se montre très critique envers les élus LR tentés par l'aventure Macron."Y'en a marre de ces gens qui ne voient que leurs intérêts personnels et qui mettent en péril le parti (…) Dès lors que vous allez avec En marche !, vous n'êtes plus aux Républicains."

12h20 : La Corée du nord félicité Macron

Dans un message communiqué par l'agence de presse du régime stalinien, Pyongyang souhaite à Emmanuel Macron "de réussir dans son travail responsable en vue du développement et de la prospérité de la France."

12h10 : sans surprises

11h55 : Un PS investi par En marche ? "Impossible" répond Jean-Christophe Cambadélis

Le premier secrétaire du parti socialiste a mis eng arde, notamment Manuel Valls, qu'un adhérent au PS ne pouvait pas être investi par En marche. "C'est impossible" a-t-il tranché.

11h30 : Luc Chatel ne sera pas candidat aux législatives

"J'ai pris la décision de ne pas me représenter comme député de la Haute-Marne" déclare le président du conseil national des Républicains au Figaro. "Je crois que notre vie politique est en train d'évoluer profondément. Le mandat à vie, c'est terminé!"

10h45 : "Nous avons déjà arrêté sur la circonscription de M. Valls une candidate" affirme Delevoye

Mauvaise nouvelle pour Manuel Valls, la place semble déjà prise. "Nous avons déjà arrêté sur la circonscription de M. Valls une candidate" affirme Jean-Paul Delevoye sur BFMTV. "Si M. Valls décide de proposer [sa candidature], nous aurons à choisir si nous maintenons cette candidate ou pas".

10h05 : les règlements de comptes continuent au PS

"C'est trop simple, quand on quitte une formation, de dire qu'elle est morte pour s'essuyer les pieds dessus" juge le député Olivier Faure, après les propos de Manuel Valls et Didier Guillaume. 

9h30 : "Le Parti socialiste est mort" affirme Didier Guillaume

"Le Parti socialiste est mort (...) quand on fait 5% ou 6% à l'élection présidentielle, le Parti socialiste, il y a eu un acte de décès (…) Je ne pense pas qu'il faille une plateforme pour les législatives" estime le patron des sénateurs PS et proche de Manuel Valls.

9h25 : Eric Ciotti a voté blanc

Interrogé sur RMC, le député LR affirme avoir voté blanc lors du second tour de la présidentielle.

9h10 : Estrosi reste à Nice 

9h : "A ce stade, on a 500 candidats" annonce En Marche

Avant l'annonce du ralliement de Manuel Valls, Jean-Paul Delevoye  en charge des investitures du mouvement, expliquait sur France 2 que 500 candidats sur 577 circonscriptions étaient trouvés.

8h55 : le ralliement de Manuel Valls passe mal au PS

8h50 : Les Républicains adoucissent leur programme

François Baroin est revenu sur le programme des Républicains pour les législatives. "Nous proposerons une baisse de 10% de l'impôt sur le revenu, il n'y aura pas d'augmentation de la TVA, nous poursuivrons l'effort de baisse des charges, mais pas de la même ampleur." Concernant la suppression des 500 000 fonctionnaires, le chiffre est maintenu mais "sur un temps plus long."

8h40 : En marche calme les ardeurs de Manuel Valls

8h35 : face à Macron, quelle attitude pour la droite ?

"Si le président nommait un Premier ministre de droite, on aurait une occasion unique de faire peser nos idées malgré la défaite", souligne une proche d'Alain Juppé auprès d'Europe 1. Les Républicains organisent un bureau politique à 17h30.

8h30 : la sortie de Manuel Valls fait jaser à gauche

8h25 : "La droite républicaine n'est pas cassée" assure Eric Woerth

"La droite et le centre ont plutôt bien tenu. Nous visons maintenant les législatives" assure l'ancien ministre du Travail. Et d'assurer : "La droite républicaine n'est pas cassée. Elle est en ordre de bataille pour les législatives." 

8h10 : Valls, pas encore investi

Sur Europe 1, le porte-parole d'Emmanuel Macron, Benjamin Griveaux, souligne que Manuel Valls n'est pas investi par En marche. "Il aurait du déposer sa candidature comme chacun car la règle est la même pour tous. Si vous ne déposez pas votre candidature, vous ne pouvez pas être investi par En marche ! Il lui reste 24 heures. La procédure est la même pour tout le monde. Ancien Premier ministre compris."

8h : Manuel Valls ne craint pas l'exclusion par son parti

"Le PS va exclure un ancien Premier ministre, qui a toujours été loyal ?" lance-t-il. Reste à savoir si cette candidature a été validée par le parti En marche! C'est un sérieux pavé dans la mare pour le parti socialiste qui risque de se disloquer totalement avec cette annonce. 

7h55 : "Je serai candidat de la majorité présidentielle" annonce Manuel Valls 

Sur RTL, l'ancien Premier ministre annonce son ralliement à Emmanuel Macron. "Je souhaite m'inscrire dans ce mouvement qui est le sien, la République en marche" affirme-t-il.

"Je ne vis jamais avec des regrets, encore moins avec de l'amertume. Je veux la réussite d'Emmanuel Macron, de son gouvernement, de sa majorité."

"Il a réussi son pari. Il a fait la bonne analyse, celle que je faisais déjà il y a quelques années. Il est parti d'un constat simple : les vieux partis sont en train de mourir."

7h45 : une rencontre secrète entre Macron et Hollande ?

Selon le Parisien, les deux hommes se sont retrouvés après la cérémonie du 8-Mai pour une "rencontre secrète" à L'Elysée dont rien n'a filtré.

7h35 : Estrosi veut reprendre la mairie de Nice

Christian Estrosi va démissionner de la présidence de la région PACA, dès la semaine prochaine, a-t-il annoncé. L'élu Républicain souhaite reprendre sa place de maire à Nice. Il aurait, selon France 2, refusé un poste de ministre, proposé par Emmanuel Macron.

7h30 : Emmanuel Macron rencontrera Donald Trump le 25 mai

La Maison blanche a indiqué que Donald Trump rencontrera Emmanuel Macron le 25 mai prochain, en marge d'un sommet de l'Otan à Bruxelles. "Le président Trump a fait part de son souhait de travailler étroitement avec le président élu Macron pour faire face à des défis communs et il a souligné la longue et solide tradition de coopération entre les États-Unis et son plus vieil allié, la France" a souligné l'administration américaine.

7h15 : "Si vous écoutez les mecs de la sécurité, vous êtes comme Hollande. Vous êtes mort".

Cette petite phrase est d'Emmanuel Macron. Elle date de l'épisode Whirlpool lorsqu'il souhaite aller voir les salariés sur le parking de l'entreprise. Elle est glissée à ses équipes et filmée pour le documentaire "Les coulisses du pouvoir", diffusé par TF1, lundi soir.

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