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Indice de popularité Délits d’opinion : pas d'état de grâce pour Manuel Valls
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Débuts difficiles

Le nouveau Premier ministre n'aura pas le privilège de connaître une forte popularité à ses débuts à Matignon, contrairement à ses prédécesseurs.

Mayeul L'Huillier

Mayeul L'Huillier

Mayeul l'Huillier est l'un des fondateurs de Délits d'opinion, site de référence sur l'analyse des sondages et des tendances d'opinion.

Passé par TNS Sofres et l'Ifop, il est l'auteur de plusieurs publications de décryptage des enquêtes d'opinion.

Il a participé en 2010 à la création du cabinet d'affaires publiques Atlas Public Affairs.

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Quelques jours après les élections municipales, véritable déroute pour la gauche, et la nomination de Manuel Valls à Matignon, l'indice Délits d'Opinion permet de tirer les premiers enseignements d'une séquence politique agitée.

Le chef de l'Etat remonte à peine depuis l'entre-deux tours des élections (2,29, +0,02). Il ne semble pas à ce stade  que les décisions politiques lui offrent une réelle bouffée d'oxygène.

Le nouveau Premier ministre Manuel Valls, qui effectue son entrée dans l'indice Délits d'Opinion bénéficie d'un score de 4,80 sur une échelle de 1 à 10. Ce chiffre peut paraître haut après les résultats auxquels nous avait habitués son prédécesseur. Mais comparativement aux scores obtenus par François Fillon ou Jean-Marc Ayrault lors de leurs nominations, dans des contextes politiques bien différents, il parait nettement en retrait. A priori, le Premier  ministre ne devrait donc pas bénéficier de véritable état de grâce. Il  met en jeu dès à présent la popularité qu'il avait réussi à se constituer ces derniers mois comme ministre de l'Intérieur.

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