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Crédits Photo: Europe 1 / Dailymotion

Interview

François Hollande : invité d'Europe 1, il est revenu sur l'Algérie, le chômage et l'affaire Depardieu

Le président était l'invité de Jean-Pierre Elkabbach ce matin sur Europe 1. Retour sur les moments marquants de cette demi-heure.

De retour d'Algérie, où il vient d'effectuer une visite d'Etat de 36 heures, François Hollande était invité ce matin à l'antenne d'Europe 1, où il a répondu aux questions de Jean-Pierre Elkabbach.

Sur l'Algérie justement, le président est revenu sur son discours commenté à propos de la repentance : "Nous sommes sortis des 50 ans de difficultés entre la France et l'Algérie. C'était le moment d'ouvrir une nouvelle page, je l'ai fait. C'est maintenant le temps d'avancer. J'ai fait mon devoir. Il fallait que des mots soient prononcés que des actes soient effectués. Il fallait être clair dans ses paroles. En Algérie, il était important d'apporter une condamnation. Ce n'était pas une repentance".

Alors que les chiffres du chômage promettent d'être particulièrement mauvais en 2013 et la croissance faiblarde, François Hollande s'est voulu combatif : "la vérité, c'est que 2012 a été une mauvaise année. L'année 2013 restera entachée par les choix de ces dernières années. Il n'y aura pas de récession mais ce sera difficile car la croissance sera quasi nulle. Il faut rétablir les comptes publics et la compétitivité. Je dois lutter pour que nous mettions en place les bons moyens. J'espère voir les courbes s'inverser."

Sur l'affaire Depardieu, François Hollande a préféré botter en touche et ne pas rentrer davantage dans cette polémique : "Vous pensez que je vais commenter les propos des uns et des autres, acteur, actrices, pour lesquels j’ai grande admiration, notamment pour Catherine Deneuve, mais aussi pour Philippe Torreton et même pour Gérard Depardieu ? Ne me demandez pas de participer à une polémique, ce n’est pas ma place. (…) Aucun citoyen français ne peut être stigmatisé par le président de la République, car il est le président de tous, ceux qui ont le plus et ceux qui ont le moins." Avant d'ajouter que "notre niveau de fiscalité n'est pas plus élevé que dans les pays voisins. Chacun doit faire un effort".

Retrouvez l'intégralité de cette vidéo dans notre fenêtre.

Vu sur Europe 1

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