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Zapping politique du jour : Manuel Valls, Le Pen, Bartolone... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

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Atlantico.fr vous propose ce mardi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Malek Boutih, député PS de l'Essonne, dans Le Parisien

"Le gouvernement semble à la fois être devenu sourd et ne plus être entendu. Le dialogue est rompu. Il faut envoyer un signal d'urgence aux Français afin de rétablir le dialogue. (...) Il faut remplacer le Premier ministre d'urgence".

La vidéo du jour : Marine Le Pen, présidente du FN, sur iTélé

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L'essentiel de ce mardi matin

Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, sur RMC

François Hollande hué ? "On n'a pas hué François Hollande, on a hué le chef de l'Etat, je dis 'ça suffit', c'est un outrage au chef de l'Etat. Il est hors de question de céder à des sifflets, à des factieux. (...) J'en appelle à la responsabilité collective de chacun. (..) On ne peut supporter qu'on s'en prenne aux institutions. C'est le moment de serrer les coudes même si la situation est difficile pour tout le monde". 

Le poste de Premier ministre ? "Ce n'est pas le sujet. C'est au président de prendre des initiatives. Chacun doit faire preuve d'un très grand sang-froid, surtout quand on est ministre ou parlementaire de la majorité. (...) Moi, je suis loyal vis-à-vis du président et du Premier ministre, qui fait bien son travail et qui est courageux ".

Les violences suite à la suspension de l'écotaxe ? "Je condamne ces dégradations, la justice fera son travail. Les auteurs seront identifiés et poursuivis, je l'espère. On ne peut s'attaquer aux forces de l'ordre sans que cela soit impuni".

Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, sur RTL

François Hollande hué ? "Ce qui s'est passé n'est pas admissible à un moment où nous célébrons les commémorations du centenaire de 14-18. Nous demandons un effort aux Français. Ce qui est question aujourd'hui, c'est la place de la France dans l'Europe et le monde. (...) Les premiers résultats vont permettre de crédibiliser la parole politique. Nous verrons ensuite s'il faut un deuxième temps au quinquennat".

L'écotaxe ? "L'assemblée a voté l'écotaxe à l'unanimité. Les commissions doivent se saisir des remarques qui sont faites. Il faut entendre les protestations et faire des propositions pour aménager cette taxe. Car elle pose un problème. L'assemblée doit analyser et améliorer la loi. Lorsque des personnes vous font des remarques, il faut savoir les entendre". 

Départ de Ayrault ? "Non, je ne pense pas que cela soit souhaitable. S'il y a un responsable qui doit s'exprimer pour expliquer le chemin emprunté, ce doit être le président de la République. A un moment, s'il le souhaite, il peut s'exprimer. Mais il veut garder son cap". 

Bernard Reynès, député UMP agressé le 11 novembre, sur Europe 1

Son ressenti sur l'agression ? "Je ressens un climat très lourd, d’agressivité, une souffrance générale qui se traduit par un climat que je n’ai jamais vu. Un défilé du 11-Novembre, qui est un symbole républicain fort, et se prendre des coups de couteaux dans le dos… on se pose des questions. Je sens que les tensions s’exacerbent. Peut-être que des esprits fragiles, portés par ce climat délétère, peuvent passer aux actes (...) C’est la République que l’on ne respecte plus, c’est le statut d’élus qui ne représente plus grand-chose pour les gens. Ce qui s’est passé aujourd’hui contribue à créer un sentiment de perte de repères".

Des soutiens ? "Le cabinet de Matignon m’a appelé, Alain Vidalies, Manuel Valls aussi et il a fait une sorte de parallélisme entre les sifflets qu’il y a eus pour le 11-Novembre et ce qui s’est passé à Châteaurenard. On a un peu discuté sur ce climat que lui aussi trouve particulièrement pesant lourd. Le président de l’Assemblée nationale m’a également appelé et cela m’a infiniment touché".

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