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Zapping politique du jour : Jean-Louis Borloo, Duflot, Montebourg... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mardi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Jean-Vincent Placé, sénateur EELV sur RTL

"Il faut se mobiliser, je souhaite que les lycéens redescendent dans les rues. Le président de la République a pris une mauvaise décision. (...) Il n'y avait que deux positions : soit on applique la circulaire, soit on fait de la politique avec le coeur et on fait revenir toute la famille. 

La vidéo du jour : Cécile Duflot, ministre du Logement, sur iTélé

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L'essentiel de ce mardi matin

Jean-Louis Borloo, président de l'UDI dans Direct matin

Un accord avec le MoDem ? "Se mettre d’accord avec le MoDem, qui est associé à la gauche dans certaines villes, est forcément compliqué. Il y a donc des petits points à régler. C’est avec ce genre de détails qu’il peut y avoir ensuite des malentendus. Je ne veux pas faire une alliance avec François Bayrou juste pour les caméras. Je veux que cela se passe de manière apaisée, enthousiaste et heureuse pour tout le monde".

La poussée du FN ? "J'analyse ça par l’absence d’un centre fort pour lutter contre les extrêmes. A chaque fois que le centre a été puissant, ils ont cessé de progresser. Les Français ont essayé l’UMP, aujourd’hui le PS, ils se disent : pourquoi ne pas essayer autre chose ? Mais la France n’est pas devenue d’extrême droite. C’est un problème d’offre politique".

Les suites politiques de l'affaire Leonarda ? "Devant le naufrage de la gouvernance, je pense que le président n’a plus les moyens redonner confiance aux Français et de réimpulser une ligne claire pour le pays. S’il le souhaite, en son âme et conscience, il a deux armes à sa disposition : faire un profond remaniement pour changer de cap, d’équipe et de gouvernance ou redonner la parole aux Français".

Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur sur RMC

Sur l'accord de libre échange avec le Canada ? "La règle c'est que nous regardons ce qu'il y a dans cette négociation. Il faudra du temps et que chaque état membre se prononce. L'importation de bœuf aux hormones n'est pas dans la négociation. C'est hors de question et nous sommes tous d'accord au niveau européen. Je l'ai déjà dit, aucun européen ne veut manger du bœuf aux hormones. Il faut regarder ce que l'on gagne et ce que l'on perd. Vous savez qu'on importe aujourd'hui car la consommation de viande ne baisse pas". 

Les négociations entre l'UE et les USA entachées par l'affaire NSA ? "Elles sont suspendues de fait et d'ici-là bien des choses auront changé. Nous avons donné un mandat à l'UE pour ces négociations. En même temps nous n'accepterons pas n'importe quoi. Le parlement a voté la protection des données personnelles par exemple...L'Europe se protège. Je ne sais pas si les Etats-Unis trichent. Barack Obama aurait dit qu'il y avait une déformation de la vérité. Mais, c'est évident que nous demandons des explications"

Goodyear repris par Titan ? "Si c'était vrai ce serait une très bonne nouvelle pour la Picardie. Qui vivra verra"

Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif dans Le Parisien

PSA Peugeot-Citroën ? "PSA est une entreprise en très grave difficulté. L'objectif est que ce constructeur qui emploie 100 000 personnes en France se relance et embauche à nouveau. C'est possible ! (...) PSA restera une entreprise française. Je ne dis pas qu'un jour, il n'y aura pas de Chinois dans le capital de Peugeot, je dis que l'entreprise restera en France et française".

L'affaire Leonarda ? "Cette affaire a pris une dimension disproportionnée. Cette famille a menti aux autorités pour obtenir le droit de séjour. Elle est restée alors que sa demande d'asile a été rejetée et tous ses recours repoussés. Il n'y a pas eu de faute des forces de l'ordre, donc cette famille doit quitter le territoire et ne pas revenir en France".

"Notre politique allie fermeté et humanité, donc nous faisons du cas par cas. Manuel Valls a une mission difficile. Il s'en acquitte avec beaucoup d'engagement. Je veux lui rendre hommage, parce que l'exaspération est très forte sur le terrain. Il essaie d'obtenir des résultats, je crois qu'il en obtient".

Goodyear repris par Titan ? "Ce n'est pas une offre. C'est une proposition qui a été faite par M. Maurice Taylor (le PDG du groupe américain Titan International) qui est venu me voir malgré les mots durs qu'il avait eus. (...) Cette offre a été faite au gouvernement. Elle n'a pas été faite à Goodyear. Donc, je suis dépositaire de cette offre. Ce n'est pas ni à M. Taylor ni à quelqu'un d'autre de la commenter. C'est à moi de la faire aboutir et de convaincre toutes les parties prenantes".

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