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Zapping politique du jour : Jean-Christophe Cambadélis, Peillon, NKM... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico vous propose de retrouver les moments forts des émissions politiques de ce vendredi matin.

La phrase du jour : Bruno Mégret, sur son retour en politique, dans Le Parisien

"Si les circonstances s'y prêtent, et que je peux être utile à mon pays, pourquoi pas ? J'ai toujours mes réseaux dans le monde politique"

La vidéo du jour : Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, sur iTélé


L'essentiel de ce vendredi matin

Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes, dans Directmatin

L'anniversaire du droit de vote des femmes ? "Il faut se souvenir des combats qui ont précédé l’obtention du droit de vote. Celui-ci n’a pas été octroyé aux femmes. Il a dû être arraché. C’est aussi l’occasion de faire le point sur les avancées effectives de l’accès des femmes aux responsabilités publiques. Car droits de vote et d’éligibilité ne riment pas nécessairement avec parité. C’est donc à la fois un moment de célébration et un moment de projection dans l’avenir. En politique comme dans les responsabilités sociales, on peut encore mieux faire dans notre pays".

La France en retard en matière de parité ? "Si l’on regarde la situation des pays de l’Union européenne en matière d’égalité et de parité, la France fait partie des plus exemplaires. Mais nous avons encore du travail à faire. De fait, la parité n’est pas encore totalement inscrite dans les pratiques et mérite qu’on y revienne, comme nous le faisons dans mon projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes. Ce dernier prévoit le doublement des sanctions sur les partis politiques non paritaires".

La vie politique sexiste ? "Je ne crois pas. Bien entendu, les témoignages ne manquent pas sur la difficulté d’être femme en politique. Il est toujours difficile pour un individu qui ne correspond pas aux standards habituels du secteur où il entre de faire son chemin". 

Vincent Peillon, ex-ministre de l'Education nationale, sur RTL

Son départ du gouvernement ? "Je ne suis pas triste mais je souhaite que ce que nous avons entrepris se poursuive. Je savais que j'allais partir car je voulais me consacrer aux élections européennes. J'ai voulu aussi un second souffle pour cette réforme et elle ne devait pas être rattachée à un homme. C'était une action collective donc je me suis préparé à partir. Il fallait agir vite et relever le niveau des élèves. Je suis content des orientations prises par Manuel Valls. Benoît Hamon va défendre les projets de l'Education nationale. (...) On ne peut pas dire que nous vivons au-dessus de nos moyens, et ne pas prendre de mesures. Le gel du point d'indice des fonctionnaires était normal".

L'affaire Aquilino Morelle ? "Cette affaire ne me gêne pas, je n'ai aucune information sur ce dossier. J'essaie de parler des vrais enjeux pour la campagne des européennes"

Européennes ? "On a un enjeu considérable, d'abord celui de voter. L'Europe, c'est notre futur et notre présent. Il ne faut pas sortir de l'Europe et de l'euro, cela rajouterait de la crise à la crise. Mais l'Europe doit se doter d'instruments pour être plus intégrée. Il faut que l'Europe trouve des solutions ce qui évitera le repli national. 

Nathalie Kosciusko-Morizet, ex-candidate UMP à la mairie de Paris dans Le Figaro

L'opposition qu'elle mène à Paris ? "C'est une opposition à la fois responsable et de combat. J'ai dit aux Parisiens que mon engagement pour Paris était irréversible. Je tiens cette promesse aujourd'hui en prenant la tête du groupe UMP. Nous allons continuer à porter des projets, des combats, des idées et des propositions tout en sachant que nous sommes dans une situation singulière à Paris".

Quels combats ? "Nous nous battrons pour que la municipalité ne se défausse pas des questions de sécurité. Nous combattrons les projets de matraquage fiscal, camouflés pendant la campagne. Nous serons aux côtés de toutes les municipalités de France mobilisées contre l'étranglement programmé des finances municipales annoncé récemment par Manuel Valls. Mais nous serons aussi une opposition de propositions".

Le Grand Paris ? "Aujourd'hui, après la déroute des municipales, la gauche fait mine de vouloir enterrer le dossier. Ce n'est pas très digne et c'est tout sauf démocratique. J'ai toujours dit que Paris, avec 2,3 millions d'habitants, n'était pas dimensionné pour concourir avec des métropoles de 10 millions d'habitants. Il nous faut le Grand Paris, mais un Grand Paris des solutions, en matière de logement et d'attractivité économique. Et surtout pas un Grand Paris des impôts et de la dette. Je défendrai cette vision".

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