Zapping politique du jour : Claude Bartolone, Guigou, NKM... Tout ce qu'il faut retenir<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Zapping politique du jour : Claude Bartolone, Guigou, NKM... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce lundi, de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Elisabeth Guigou, présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale sur France Info

"Je crois que dans des situations compliquées comme celle-ci, il faut s'en tenir à la Constitution. Et la Constitution dit que ce débat n'est pas suivi d'un vote".

La vidéo du jour : Nathalie Kosciusko-Morizet, député UMP, sur RMC


Nathalie Kosciusko-Morizet: "Je m'inquiète de...par BFMTV

L'essentiel de ce lundi matin

Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale sur RTL

Une intervention en Syrie ? "Les députés peuvent voter l'intervention mais ce n'est pas une obligation. Il faut défendre les pouvoirs régaliens du président de la République. (...) Il y a un lien de confiance entre les députés et le président. Les présidents de groupe vont être réunis et mercredi, les parlementaires auront accès à l'ensemble du dossier".

"L'objectif de la France est de dire, ce gendre d'action sera toujours réprimée par notre pays. Il faut trouver la meilleure façon de rassembler la France et de dire à Bachar el Assad que son attitude est intolérable. (...) Il y a des pouvoirs qui appartiennent au parlement et d'autres au président. Il faut trouver la solution pour donner une réponse à l'utilisation de gaz chimiques. La démocratie doit dire aux dictateurs, qu'il y a des choses inacceptables. La démocratie doit punir ces actes".

Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République, sur Europe 1

La Syrie ? "Je suis hostile à une intervention de la France en Syrie. Pour notre pays, c'est bien qu'il y ait un débat mais il faut qu'il débouche sur un vote. Pour les Etats-Unis, c'est leurs affaires, leurs problèmes. La France a condamné, ce qu'elle devait faire mais elle ne doit pas agir là-bas, car elle n'en a pas le droit et en plus elle ne sait pas qui a agi. Il faut atteindre ceux qui ont commis cet acte. Or personne ne sait avec certitude qui a pris la décision de gazer ces gens"

"En Syrie, c'est un désordre considérable. Mais il faut identifier les coupables et ensuite punir les coupables. Qui a pris la décision d'utiliser les armes chimiques ? Une personne au sein du pouvoir, un groupe ? Les rebelles ? Il est nécessaire de le définir".

Patrick Menucci, député socialiste, sur RMC

Sur la Syrie ? "Il faut que l’Assemblée nationale joue son rôle. On peut attendre la position du Congrès américain, on peut voter le 11 ou le 12. Je souhaite un vote parce que, comme tous les parlementaires, je rencontre mes électeurs. Tout le week-end, les Marseillais m’ont parlé de ça. Il y a des interrogations liées à la confusion en Syrie. Il me semble que quand il y a une telle interrogation, le débat doit être porté par l’Assemblée nationale ".

Sur les propos de Harlem Désir ? "Sur la réception de monsieur Assad, je crois qu’Harlem Désir a raison de rappeler les liens entre la droite française et le gouvernement de Bachar Al Assad. Sur les Munichois, je n’utiliserais pas les mêmes mots".

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !