Présidence de l'UMP : Henri Guaino évoque un possible "déni de démocratie"<!-- --> | Atlantico.fr
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Henri Guaino s'est officiellement déclaré candidat à la présidence de l'UMP lundi
Henri Guaino s'est officiellement déclaré candidat à la présidence de l'UMP lundi
©Reuters

La guerre commence

Le candidat récemment déclaré à la tête du parti souhaite "plus de gaullisme" à l'UMP.

A peine un jour après l'annonce de sa candidature, Henri Guaino évoque déjà les problèmes de l'élection du patron de l'UMP. Au micro d'Europe 1, l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à l'Elysée a en effet critiqué le système de parrainage interne. Les candidats à la course à la présidence de l'UMP doivent en effet obtenir la signature de 8 000 militants, ce qui représente 3% des encartés au parti, avant la mi-septembre. Ce système pourrait empêcher plusieurs candidats, notamment Nathalie Kosciusko-Morizet mais aussi Bruno Le Maire, de se concourir à l'élection. L'ancienne plume de Nicolas Sarkozy a ainsi déclaré : "Tout est verrouillé. S'il n'y a que deux candidats qui peuvent se présenter à la fin, ce sera un déni de démocratie". Le député des Yvelines n'a toutefois cité personne. Mais depuis la fin de l'été, deux candidats sont donnés favoris dans les sondages : l'ancien Premier ministre François Fillon, et le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé. Henri Guaino, qui a posé sa candidature pour devenir président de l'UMP car il ne se reconnaissait ni dans François Fillon ni dans Jean-François Copé, a expliqué que le système des parrainages "n'est la faute de personne aujourd'hui, cela a été créé il y a des années lors de la création de l'UMP. On le paye aujourd'hui".

Quant à son programme, Henri Guaino n'en a pas dit beaucoup si ce n'est qu'il "défend une chose très simple : Je trouve qu'il n'y a pas assez de gaullisme, j'en veux plus", ajoutant que "tout le monde sait ce qu'est le gaullisme, on ne peut pas le résumer comme ça en une phrase dans une matinale de radio".

Lu sur Europe 1

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