NKM : Paris "est un choix de passion, pas de carrière"<!-- --> | Atlantico.fr
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Candidate à la mairie de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet était l'invité du Grand Jury d'Europe 1/Le Parisien-Aujourd'hui en France/iTélé, dimanche matin.
Candidate à la mairie de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet était l'invité du Grand Jury d'Europe 1/Le Parisien-Aujourd'hui en France/iTélé, dimanche matin.
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Paris, mon amour

Invitée du Grand Jury d'Europe 1/Le Parisien-Aujourd’hui en France/iTélé, dimanche matin, Nathalie Kosciusko-Morizet a expliqué les raisons de sa candidature à la mairie de Paris en 2014.

Candidate à la mairie de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet, député de l’Essonne, était l’invité du Grand Jury d’Europe 1/Le Parisien-Aujourd’hui en France/iTélé, dimanche matin. "C’est une réflexion que je mène depuis des semaines. Des élus sont venus me soir, je les ai écouté et à un moment, j’ai pris ma décision au bout de quelques semaines. Elle n’était pas facile. C’est un choix de passion, pas de carrière, l’appel de Paris est irrésistible", a-t-elle expliqué.

"Je veux être soutenue par le plus grand nombre. Je ne veux pas être la candidate d’un clan. Je souhaite qu’il y ait des primaires ouvertes à Paris. Le choix de mon arrondissement ? Je ne veux pas le dire pour le moment. J’irai là où il y aura des enjeux mais je ne ferai pas un choix de confort. Il faut une discussion avec les militants parisiens", a ajouté NKM.

Interrogée sur la volonté de Rachida Dati, maire UMP du VIIe arrondissement, d'être elle aussi candidate à la primaire de son camp pour les municipales de 2014 à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet a éludé : elle a affirmé souhaiter "travailler avec tous les élus parisiens. Je n'ai pas envie de faire des commentaires personnels sur Rachida Dati ou sur ce que pense Rachida Dati du bilan de Bertrand Delanoë".

Par ailleurs, interrogée sur la plaisanterie faite par François Hollande aux dépens de son prédécesseur la veille au Salon de l'agriculture, NKM a parlé d'un "dérapage" qui "n'a pas sa place dans la bouche d’un président de la République." A un enfant qui soulignait qu'il n'avait "jamais vu Nicolas Sarkozy", le chef de l'Etat a répondu du tac au tac, déclenchant les rires de ses proches dans l'assemblée : "Ah ben, tu ne le verras plus".

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