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François Bayrou dénonce les fausses promesses
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Sur ses grands chevaux

Le candidat du Modem à l'élection présidentielle a tenu une réunion publique ce mardi soir dans les environs de Nantes, à Rezé.

François Bayrou a tenu un meeting de campagne ce mardi soir dans les environs de Nantes, à la Halle de la Trocardière, à Rezé. À six jours du premier tour des élections présidentielles, le candidat centriste que les derniers sondages créditent de 10 % d’intentions a entamé son discours en dénonçant "les fariboles, les balivernes, les sornettes", sur la baisse du déficit, "les dépenses sous-estimées, les recettes surestimées..."

Ceci avant d’évoquer le désarroi de la jeunesse face à l’emploi "si ce n’est pas nous ? Qui va prendre la défense des jeunes en disant emploi, emploi, emploi… C’est la priorité du pays".

Le candidat du Modem a consacré plus d’une heure à la question de la production en France, se demandant pourquoi la France glisse sur "un grand toboggan", alors que l’Allemagne, soumise aux mêmes concrètes a pris l’ascenseur. Il a pris l’exemple de l’usine Technicolor, à Angers, qui a perdu la production des logiciels pour Orange France Télécom. "Si on voyait plus loin que le bout de son nez, on verrait que ce n’est pas si grave de payer quelques euros de plus un décodeur, car derrière il s’agit de garder la capacité de recherche et de production, mais aussi des charges sociales, la CSG, des impôts qui rentrent dans les caisses du pays."

Devant 1 500 personnes le candidat centriste a poursuivi avec l’éducation, puis la moralisation de la vie politique, appelant à "changer le logiciel", et pas seulement ceux qui sont à la console. "Si vous voulez que ça change, c’est au premier tour, c’est votre mobilisation qui fera le changement dont la France a besoin", a conclu François Bayrou au terme d’un discours prononcé d’un bout à l’autre sans aucune note.

Lu sur Ouest-France

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