« La santé n’est pas gratuite » : le gouvernement défend sa « taxe lapin » visant les patients<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Le gouvernement a assuré que la mise en place de cette « taxe lapin » était « techniquement [...] tout à fait faisable ».
Le gouvernement a assuré que la mise en place de cette « taxe lapin » était « techniquement [...] tout à fait faisable ».
©Flick/Alex E. Proimos

Taxe supplémentaire

Le premier ministre, Gabriel Attal, a annoncé la mise en place d’ici 2025 d’une «taxe lapin», de cinq euros à la charge du patient, pour tous les rendez-vous médicaux non honorés.

Le gouvernement a assuré que la mise en place de cette «taxe lapin» était «techniquement [...] tout à fait faisable», selon Frédéric Valletoux, ministre délégué à la Santé et la Prévention. Sur Franceinfo, il a ainsi expliqué «que les patients qui prendront rendez-vous laisseront leurs coordonnées bancaires sur les plateformes de réservation». Pour les professionnels absents de ces plateformes, «les médecins auront la possibilité de demander des coordonnées bancaires» par téléphone. Leurs secrétariats «pourront appeler les patients pour confirmer les rendez-vous». S'ils ne se présentent pas, «les médecins pourront toujours leur demander cinq euros à la prochaine consultation», a souligné sur RTL Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, sans détailler le cas où le patient ne reviendrait jamais chez le praticien.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !