Jean-Marc Ayrault : à l'Assemblée nationale, il exprime sa "fierté du travail accompli" depuis un an<!-- --> | Atlantico.fr
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Jean-Marc Ayrault a fait l'éloge de son gouvernement mercredi 24 avril à l'Assemblée
Jean-Marc Ayrault a fait l'éloge de son gouvernement mercredi 24 avril à l'Assemblée
©Reuters

"Ayrault pride"

Le Premier ministre est fier du "sérieux budgétaire", de "la bataille pour l’emploi" et de l’avancée "vers de nouveaux droits" comme le mariage pour tous.

Jean-Marc Ayrault a exprimé mercredi à l’Assemblée nationale sa "fierté du travail accompli ensemble au service du redressement du pays" depuis le début du quinquennat, même si les premiers résultats "demandent du temps".

"Rares sont les gouvernements qui ont engagé en si peu de temps autant de réformes", a souligné mercredi Ayrault, citant le "sérieux budgétaire", "la bataille pour l’emploi" et l’avancée "vers de nouveaux droits" comme le mariage pour tous. "Ce n’est que la première étape, la première année, tous les chantiers sont ouverts et vont continuer avec la même méthode, la méthode juste, du courage, volontaire, et qui n’est pas brutale", a assuré l’ancien président du groupe PS à l’Assemblée.

Après une interruption de deux semaines à compter du week-end prochain - pour causes de vacances parlementaires - d’autres textes seront examinés, a poursuivi Jean-Marc Ayrault, citant en particulier les textes qui touchent à la "vie quotidienne des Français", sur la consommation, la "rénovation thermique" et le logement. L’école et la transparence de la vie publique seront aussi au menu des travaux parlementaires. "Le redressement de la France est engagé, même s’il demande du temps", a-t-il conclu.

Le premier ministre pour régler ses comptes avec les parlementaires de droite qui l'ont attaqué ces dernières semaines. Selon Ayrault, la droite a laissé un pays "économiquement affaibli, politiquement divisé et moralement, qui doute de lui-même". "Dans une démocratie, il est important que ceux qui ont perdu le pouvoir soient capables de faire le bilan et l’inventaire de l’échec dans lequel ils ont conduit la France", a fait valoir le premier ministre.

Lu sur Libération

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