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Florian Philippot : "Je ne connais pas l'histoire du Front national"
©Reuters

Numéro deux

"En bon gaulliste, je ne suis pas là pour sacraliser les partis", assure l'eurodéputé FN, cité par l'hebdomadaire Le Point.

Dans un entretien accordé à nos confrères du Point il y a plusieurs semaines, et publié jeudi 26 janvier, Florian Philippot a évoqué le sort souvent réservé dans le passé aux "numéros deux" du Front national depuis sa création. Qualifié de "félon" par Jean-Marie Le Pen et écarté de la direction du parti en 1998, Bruno Mégret est un exemple de référence.

Pour autant, Florian Philippot ne semble pas inquiété outre mesure par la "malédiction" que lui président souvent les médias, malgré son ascension fulgurante aux côtés de Marine Le Pen depuis 2009 : "La malédiction ? Ça fait vendre, c'est amusant. J'ai cru comprendre que, plusieurs fois, c'est parce qu'il y avait un conflit entre le un et le deux…". 

Invité à commenter la mort de François Duprat, un proche de Jean-Marie Le Pen tué par une bombe dans les années 1970, Florian Philippot préfère balayer le passé et s'abstient de tout commentaire : "Je ne connais pas l'histoire du Front national. Enfin, je connais vaguement son histoire par les médias". 

"Un parti politique, c'est sympa, il y a des combats communs qui créent des liens évidents. Mais ça reste un moyen d'accéder au pouvoir. En bon gaulliste, je ne suis pas là pour sacraliser les partis", a-t-il enfin rappelé. 

>>>> À lire aussi : Pourquoi Florian Philippot se réjouit un peu vite du soutien des jeunes en oubliant qu’avant toute autre chose, ils s’abstiennent

Lu sur Le Point

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