Hollande à Toulouse : "Le pouvoir au service du peuple français"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Hollande à Toulouse : "Le pouvoir au service du peuple français"
©

Présidentielle

Pour son dernier meeting de campagne, François Hollande s'est posé en défenseur du "peuple français", en s'en prenant régulièrement à son opposant, Nicolas Sarkozy.

Dernier grand meeting de campagne du candidat socialiste à Toulouse.  Ses partisans étaient aux rendez-vous, place du Capitole. François Hollande s'est posé comme le porte-parole, le défenseur du "peuple français". "J'ai eu une très grande fierté, celle de vous représenter, de lui dire bien en face ce que vous pensez; j'ai été votre porte-parole et il y avait tant à dire" a assuré le favori des sondages. Pour redresser le pays, il a martelé avoir "besoin de toutes les forces de France", mettant en avant son envie de travailler avec les corps intermédiaires, associations et syndicats.

Régulièrement pendant son discours, il s'est moqué de Nicolas Sarkozy affirmant que "quand on a été un président de l'échec, on ne peut pas être un candidat de l'espoir", ajoutant pour revenir sur le débat d'entre deux-tours : "Le candidat sortant fondait sur lui tant d'espoir. Vous connaissez ces qualités de modestie, de retenue. Il avait déclaré qu'il ne ferait qu'une bouchée. J'ai peur qu'il soit resté sur sa faim."

François Hollande a également évoqué l'Europe, lui qui souhaite renégocier le pacte budgétaire pour y ajouter un pacte de croissance."Partout, nous sommes regardés, attendus. Voilà que les esprits commencent à s'ouvrir, que les consciences s'ouvrent".

Enfin, le candidat est revenu sur la victoire de François Mitterrand en 1981 pour s'adresser à "une nouvelle génération qui se lève et qui va connaître le bonheur de l'alternance". Il a appelé tout le monde à aller voter "pour permettre le changement, la France d'avancer" et pour que chacun participe à "l'histoire de la République, assurément, à l'histoire de la France, volontairement".

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !