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Ce qu'il faut retenir de l'intervention d'Emmanuel Macron
©AFP

Grand oral

Fidèle à son franc-parler, le président de la République a tenté de justifier le fond et la forme.

Son franc-parler : Après les différentes critiques qui lui ont été adressées, Emmanuel Macron a assuré avoir de la "considération" pour les Français et pointent du doigt les "commentateurs" qui n'ont pas compris ses propos. "Je n'ai pas cherché à humilier" se justifie-t-il. "Je continuerai à dire les choses, je continuerai à respirer l'air, à parler avec nos concitoyens, à parfois m'emporter quand j'échange avec eux et à dire ce que je crois vrai."

Sa distance médiatique : Il explique aussi avoir "pris la décision de ne pas avoir une présidence bavarde, de ne pas parler tout le temps parce qu’il faut que la parole présidentielle garde de la solennité. Et parce qu’il faut aussi que le premier ministre, les ministres, le gouvernement dans son ensemble déploie une parole, s’exprime."

Président des riches ? : "Je veux que ceux qui réussissent tirent les autres" a-t-il indiqué, réfutant toute théorie du ruissellement. "Si on jette des cailloux au premier de cordée, c'est toute la cordée qui dégringole. On n'est pas dans une économie fermée. Les Allemands, les Belges, les Italiens n'ont pas l'ISF (…) Je ne crois pas à la jalousie française qui consiste à dire il y a des riches, taxons-les, nous nous porterons mieux."

Le chômage : "Je veux qu’il y ait un contrôle assumé. Il faut qu’on assure qu’il cherche bien de manière active un emploi et qu’il ne soit pas un multirécidiviste du refus. A côté de ça, nous devons nous engager à lui offrir des emplois" a souligné le chef d'Etat.

Donald Trump : Emmanuel Macron a rappelé que les Etats-Unis étaient "des alliés." Concernant Donald Trump, s'il reconnait des "désaccords", il souhaite continuer le dialogue. "Je parle constamment au président américain parce que c’est mon devoir. Il est nécessaire de l’ancrer dans ce partenariat et dans ce multilatéralisme."

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