"Marine, parlons-nous" : Jean-Marie Le Pen tend la main à sa fille<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
"Marine, parlons-nous" : Jean-Marie Le Pen tend la main à sa fille
©

Renouer le dialogue

Le président d'honneur du Front national suspendu souhaite avoir une discussion directe avec sa fille, a-t-il expliqué hier sur LCI.

Finalement, la crise au FN pourrait-elle se résoudre par le dialogue ? "Quand des affaires comme celle-là se produisent dans une famille, il y a quelques fois des réactions imprévisibles qui se produisent. Moi je souhaite calmer le jeu, que la bataille politique du Front national ne s'égare pas", a déclaré vendredi sur LCI le fondateur du parti, Jean-Marie-Le Pen.

"'Marine, parlons-nous...pourquoi pas, après tout. Echangeons nos idées, échangeons nos arguments et puis on verra bien si l'un de nous arrive à convaincre l'autre'", a ajouté le président d'honneur du parti, suspendu en tant qu'adhérent. Il a indiqué qu'il regrette de ne parler à sa fille que "par personnes interposées avec tous les risques que ça comporte".

Malgré cette volonté d'apaisement, l'ancien leader frontiste n'a pas manqué de pointer du doigt le responsable selon lui de toute cette cacophonie : "On veut remplacer le Front national de Jean-Marie Le Pen par une nouvelle formation qui serait en fait dirigée par Monsieur Philippot, peut-être à travers Marine Le Pen pour autant qu'elle y consente, le temps qu'elle y consentira."

Réagissant à la demande du Front National au CSA de ne plus compter son temps de parole dans le décompte de celui du parti, il a déclaré avoir "l'impression qu'on charge un peu la mule de façon inconsidérée. On veut me faire taire. On veut m'empêcher de parler, on veut m'empêcher de voir, de dire".

Lu dans Closer

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !