Economie10 janvier 2013
Sorry Jean-Luc
Pourquoi le passage de 3 à 9% de la part des dividendes dans la valeur ajoutée n’est pas le reflet de l’atroce cupidité des capitalistes
La part des dividendes a triplé en trente ans et les entreprises françaises deviennent, elles, de plus en plus dépendantes des marchés financiers. Faut-il s'en inquiéter ? Jean Luc Mélenchon s'en désole face à notre ministre du budget plutôt satisfait de la situation.