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Jean-Luc Mélenchon, démocratie, gauche, extrême gauche, avenir, élections européennes, la France insoumise, NUPES, LFI
Jean-Luc Mélenchon lors d'un discours en juillet 2022.
©STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Il était temps
Pour qui sonne le glas ? Pour la Nupes
Mélenchon va pleurer toutes les larmes de son corps.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Avant-hier vient d’avoir lieu l’acte 2 de la Nupes. Étaient présents les représentants de LFI, du PC, du PS et des écologistes.
Cela s’est très mal passé. “L’ambiance était chaude et ça gueulait très fort”, a témoigné un des participants. Au menu, un candidat unique de la Nupes pour les Européennes.
Le PS, qui lorgne du côté de Bernard Cazeneuve, n’en veut pas. Pareil pour les écologistes. Idem pour le PS. Mélenchon va se retrouver bien seul.
Mais celui qui a fait le plus fort, c’est Fabien Roussel, le chef du PC. Il a dit que la Nupes “était une camisole”. Dans le temps, on enfermait les fous dans une camisole…
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