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Quand Alain Juppé 
cornerise Valérie Hoffenberg
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INFO ATLANTICO

Le ministre des Affaires Étrangères ne souhaite pas que l'ancienne Représentante de la France pour le processus de paix au Moyen-Orient soit affectée à une nouvelle fonction au Quai d’Orsay. Elle reste pour l'instant soutenue par Nicolas Sarkozy.

L’ancienne Représentante de la France pour le processus de paix au Moyen-Orient n’est plus en odeur de sainteté au Quai d’Orsay depuis l’arrivée d’Alain Juppé. Déchargée de cette fonction depuis la rentrée, elle avait obtenu de la part de l’Élysée une promesse de « recyclage », a priori en relation avec le développement culturel de la région. Mais le ministre des Affaires étrangères a mis son veto à toute nouvelle affectation. « Je ne veux plus la voir dans mon périmètre » se serait exclamé Juppé lors d’une réunion au cours de laquelle le cas Hoffenberg a été évoqué, la jugeant inutile et intrigante.

Il reste que la jeune femme qui demeure la candidate de l’UMP pour l’élection du député des Français de l’étranger sur la circonscription Israël-Grèce-Malte conserve le soutien du Président de la République. Ce dernier n’a pas oublié le rôle actif qu'elle a joué lors de la campagne de 2007, notamment dans le domaine de la collecte de fonds. Son talent et son carnet d’adresses pourraient se révéler à nouveau précieux dans la perspective de 2012.

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