Contenus en rapport avec le mot-clé santé mentale

Les séries télévisées masculines dominent toujours le paysage. Mais les histoires racontées commencent à évoluer, laissant une place plus importante à la vulnérabilité et à la représentation des troubles mentaux masculins.

Entre glamour, drames intimes et stratégies d’image millimétrées, les hebdos de la semaine rejouent le grand théâtre des émotions et des couronnes, entre glow-ups calculés, ruptures assumées et confessions inattendues.

Autrefois synonymes de hippies et d'expériences hallucinatoires, les drogues psychédéliques sont aujourd'hui explorées pour leur potentiel médical. La stigmatisation de cette époque a conduit à la suppression de la recherche par la législation sur les drogues. Pourtant, face aux limites des traitements de santé mentale, les scientifiques sont revenus sur ce pan controversé de la médecine.

Censées apaiser, les applis de santé mentale déclenchent souvent une micro-panique nocturne à coups d’alertes, de “séries” à ne pas briser et de cadrage « chaud » qui exploite notre biais d’hypervigilance. La voie de sortie : passer à un design « froid » et parcimonieux (notifications limitées, opt-in biométrique, friction intentionnelle, langage apaisé).

Le meurtre de Charlie Kirk relance le débat sur la place de l’idéologie du genre dans nos sociétés. Entre radicalisation en ligne, fractures culturelles et querelles politiques, certains y voient le symptôme d’un dérèglement collectif.

Longtemps considérés comme deux pathologies distinctes, le diabète et la démence apparaissent de plus en plus liés. Résistance à l’insuline, inflammation cérébrale, atteintes vasculaires : les connexions entre troubles métaboliques et déclin cognitif se multiplient.

Réfugiée ukrainienne, Iryna Zarutska, 23 ans, est tuée dans un train à Charlotte lors d’une attaque aléatoire filmée. Le dossier ravive la question des soins contraints et de la sécurité publique.

La fusillade de Minneapolis relance le débat américain : simple drame des armes à feu ou reflet d’un malaise plus profond autour de la transidentité et de la santé mentale ?

Robin Westman, une femme transgenre de 23, est à l'origine d’une fusillade meurtrière au Minnesota. L’idéologie du « modèle affirmatif », dominant aux États-Unis, tend à invisibiliser les détresses mentales profondes derrière une validation systématique du genre déclaré.

Une étude révèle que les mécanismes cérébraux à l’origine des symptômes psychotiques sont similaires, quel que soit le diagnostic posé. De quoi bouleverser la manière dont la psychiatrie choisit ses traitements.

Des Furbies aux animaux-robots comme Ropet, la compagnie IA s’invite à la maison. Adorables et interactifs, ces “pets” posent pourtant des questions lourdes: attachement des enfants, dépendance affective, données personnelles et sécurité.

Une étude menée en Espagne par des chercheurs de l'IE University er de l’Université d'économie et de commerce de Vienne révèle un lien préoccupant entre le déploiement de la fibre optique et la dégradation de la santé mentale chez les adolescentes. Troubles anxieux, dépression, automutilations : les effets observés sont significatifs et préoccupants, et touchent principalement les jeunes filles.

Pour accompagner un proche endeuillé, inutile de chercher la réplique parfaite : reconnaître toutes les formes de chagrin, rester présent sans presser les larmes et proposer une aide concrète font infiniment plus que les mythiques cinq étapes du deuil.

Près d’un Français sur cinq lutte chaque nuit contre l’insomnie, un trouble qui mine humeur, mémoire et santé.

Bun Hay Mean, humoriste à l’humour décapant surnommé « Chinois marrant », est mort le 10 juillet à Paris à 43 ans après une chute de huit étages. Figure du Jamel Comedy Club et méchant d’Astérix : L’Empire du milieu, il préparait pour la rentrée un spectacle intime sur la santé mentale intitulé Kill Bun.

Malgré le basculement massif en visioconférence durant la pandémie, une étude suédoise démontre que les résultats thérapeutiques (dépression, anxiété, TSPT, TOC) sont restés stables, confirmant l’efficacité de la télésanté quand elle est bien encadrée.

Face à l’explosion des troubles anxieux et aux listes d’attente interminables, de nouvelles neurotechnologies promettent un premier secours à domicile.

L’Antarctique fascine autant qu’il effraie. Mais derrière les récits de folie isolée se cachent des dérives bien plus systémiques, longtemps passées sous silence.

Et si les fêlures psychiques étaient la clé d’enquêtes brillantes ?

Elisabeth Borne souhaite diffuser la série Netflix “Adolescence” dans les écoles pour lutter contre la masculinité toxique. Ce concept, utilisé pour définir la crise de la masculinité en Occident, a tendance à stigmatiser les jeunes hommes en souffrance psychologique et ne permet pas d’apporter de réelles solutions.